Baron de Redé. Souvenirs et portraits
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- Nombre de pages302
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids1.988 kg
- Dimensions26,4 cm × 30,6 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-35603-020-7
- EAN9782356030207
- Date de parution30/11/2017
- CollectionEn d'autres temps
- ÉditeurLacurne
- TraducteurDavid Gaillardon
Résumé
Figure emblématique du tout-Paris de l'après-guerre, le baron de Redé (1922-2004) a marqué les grandes heures de la Café Society. De New York à Saint-Moritz, de la Riviera à Venise, sur les yachts et les champs de courses, il a laissé le souvenir d'un gentleman élégant et raffiné. Né à Zurich, d'une famille de banquiers autrichiens, Alexis de Redé fut un acteur majeur de cette société cosmopolite aux côtés d'Arturo Lopez, de Charles de Beistegui ou de Paul-Louis Weiller.
Esthète et dandy, mais aussi financier avisé, le baron de Redé fut également le mécène de nombreux artistes, décorateurs ou artisans, parmi lesquels Christian Bérard, Cecil Beaton, Emilio Terry, Georges Geffroy, etc. Au fil de ces souvenirs, il évoque les femmes les plus brillantes de son entourage, arbitres incontournables des salons parisiens, les célèbres Marie-Laure de Noailles, Marie-Blanche de Polignac, Marie-Louise Bousquet ou lady Diana Cooper.
Mais l'aventure de sa vie, partagée avec sa grande amie Marie-Hélène de Rothschild, fut l'hôtel Lambert. Le plus bel hôtel parisien, joyau de l'île Saint-Louis, retrouva son lustre et sa grandeur grâce à sa ténacité et celle des Rothschild. Alexis de Redé se mobilisa sans compter pour sauver ce trésor de l'architecture du XVIIe siècle, pour en restaurer la décoration intérieure et pour le meubler dans l'esprit de l'époque.
Ayant renoué avec les fastes d'antan, l'hôtel Lambert fut l'écrin de dîners raffinés et de bals somptueux qui marquèrent à jamais l'art de recevoir au XXe siècle. A la suite des soirées du comte Etienne de Beaumont et du célèbre bal Beistegui à Venise (1951), Redé donna le bal des Têtes (1957) et l'extraordinaire bal Oriental (1969), immortalisés par Yves Saint Laurent et Alexandre Serebriakoff. Témoin privilégié de cette société internationale disparue, le baron de Redé fait revivre une pléiade de personnages de légende, tels que Jean Cocteau, Hélène Rochas, le marquis de Cuevas, les Windsor, Christian Dior, Barbara Hutton, le prince Rupert zu Loewenstein, Daisy de Cabrol, lady Mendl, Elsa Maxwell, Etti Plesch, Ghislaine de Polignac, Paul Rodocanachi, Andy Warhol, Louise de Vilmorin, Francine Weisweiller, Nancy Mitford, Salvador Dalí, Jacqueline de Ribes, Rudolf Noureev, Margrethe de Danemark, Audrey Hepburn, les Pecci-Blunt, Charlotte Aillaud, les Pompidou et tant d'autres.
Illustré de 225 photos. Index de plus de 600 noms.
Esthète et dandy, mais aussi financier avisé, le baron de Redé fut également le mécène de nombreux artistes, décorateurs ou artisans, parmi lesquels Christian Bérard, Cecil Beaton, Emilio Terry, Georges Geffroy, etc. Au fil de ces souvenirs, il évoque les femmes les plus brillantes de son entourage, arbitres incontournables des salons parisiens, les célèbres Marie-Laure de Noailles, Marie-Blanche de Polignac, Marie-Louise Bousquet ou lady Diana Cooper.
Mais l'aventure de sa vie, partagée avec sa grande amie Marie-Hélène de Rothschild, fut l'hôtel Lambert. Le plus bel hôtel parisien, joyau de l'île Saint-Louis, retrouva son lustre et sa grandeur grâce à sa ténacité et celle des Rothschild. Alexis de Redé se mobilisa sans compter pour sauver ce trésor de l'architecture du XVIIe siècle, pour en restaurer la décoration intérieure et pour le meubler dans l'esprit de l'époque.
Ayant renoué avec les fastes d'antan, l'hôtel Lambert fut l'écrin de dîners raffinés et de bals somptueux qui marquèrent à jamais l'art de recevoir au XXe siècle. A la suite des soirées du comte Etienne de Beaumont et du célèbre bal Beistegui à Venise (1951), Redé donna le bal des Têtes (1957) et l'extraordinaire bal Oriental (1969), immortalisés par Yves Saint Laurent et Alexandre Serebriakoff. Témoin privilégié de cette société internationale disparue, le baron de Redé fait revivre une pléiade de personnages de légende, tels que Jean Cocteau, Hélène Rochas, le marquis de Cuevas, les Windsor, Christian Dior, Barbara Hutton, le prince Rupert zu Loewenstein, Daisy de Cabrol, lady Mendl, Elsa Maxwell, Etti Plesch, Ghislaine de Polignac, Paul Rodocanachi, Andy Warhol, Louise de Vilmorin, Francine Weisweiller, Nancy Mitford, Salvador Dalí, Jacqueline de Ribes, Rudolf Noureev, Margrethe de Danemark, Audrey Hepburn, les Pecci-Blunt, Charlotte Aillaud, les Pompidou et tant d'autres.
Illustré de 225 photos. Index de plus de 600 noms.
Figure emblématique du tout-Paris de l'après-guerre, le baron de Redé (1922-2004) a marqué les grandes heures de la Café Society. De New York à Saint-Moritz, de la Riviera à Venise, sur les yachts et les champs de courses, il a laissé le souvenir d'un gentleman élégant et raffiné. Né à Zurich, d'une famille de banquiers autrichiens, Alexis de Redé fut un acteur majeur de cette société cosmopolite aux côtés d'Arturo Lopez, de Charles de Beistegui ou de Paul-Louis Weiller.
Esthète et dandy, mais aussi financier avisé, le baron de Redé fut également le mécène de nombreux artistes, décorateurs ou artisans, parmi lesquels Christian Bérard, Cecil Beaton, Emilio Terry, Georges Geffroy, etc. Au fil de ces souvenirs, il évoque les femmes les plus brillantes de son entourage, arbitres incontournables des salons parisiens, les célèbres Marie-Laure de Noailles, Marie-Blanche de Polignac, Marie-Louise Bousquet ou lady Diana Cooper.
Mais l'aventure de sa vie, partagée avec sa grande amie Marie-Hélène de Rothschild, fut l'hôtel Lambert. Le plus bel hôtel parisien, joyau de l'île Saint-Louis, retrouva son lustre et sa grandeur grâce à sa ténacité et celle des Rothschild. Alexis de Redé se mobilisa sans compter pour sauver ce trésor de l'architecture du XVIIe siècle, pour en restaurer la décoration intérieure et pour le meubler dans l'esprit de l'époque.
Ayant renoué avec les fastes d'antan, l'hôtel Lambert fut l'écrin de dîners raffinés et de bals somptueux qui marquèrent à jamais l'art de recevoir au XXe siècle. A la suite des soirées du comte Etienne de Beaumont et du célèbre bal Beistegui à Venise (1951), Redé donna le bal des Têtes (1957) et l'extraordinaire bal Oriental (1969), immortalisés par Yves Saint Laurent et Alexandre Serebriakoff. Témoin privilégié de cette société internationale disparue, le baron de Redé fait revivre une pléiade de personnages de légende, tels que Jean Cocteau, Hélène Rochas, le marquis de Cuevas, les Windsor, Christian Dior, Barbara Hutton, le prince Rupert zu Loewenstein, Daisy de Cabrol, lady Mendl, Elsa Maxwell, Etti Plesch, Ghislaine de Polignac, Paul Rodocanachi, Andy Warhol, Louise de Vilmorin, Francine Weisweiller, Nancy Mitford, Salvador Dalí, Jacqueline de Ribes, Rudolf Noureev, Margrethe de Danemark, Audrey Hepburn, les Pecci-Blunt, Charlotte Aillaud, les Pompidou et tant d'autres.
Illustré de 225 photos. Index de plus de 600 noms.
Esthète et dandy, mais aussi financier avisé, le baron de Redé fut également le mécène de nombreux artistes, décorateurs ou artisans, parmi lesquels Christian Bérard, Cecil Beaton, Emilio Terry, Georges Geffroy, etc. Au fil de ces souvenirs, il évoque les femmes les plus brillantes de son entourage, arbitres incontournables des salons parisiens, les célèbres Marie-Laure de Noailles, Marie-Blanche de Polignac, Marie-Louise Bousquet ou lady Diana Cooper.
Mais l'aventure de sa vie, partagée avec sa grande amie Marie-Hélène de Rothschild, fut l'hôtel Lambert. Le plus bel hôtel parisien, joyau de l'île Saint-Louis, retrouva son lustre et sa grandeur grâce à sa ténacité et celle des Rothschild. Alexis de Redé se mobilisa sans compter pour sauver ce trésor de l'architecture du XVIIe siècle, pour en restaurer la décoration intérieure et pour le meubler dans l'esprit de l'époque.
Ayant renoué avec les fastes d'antan, l'hôtel Lambert fut l'écrin de dîners raffinés et de bals somptueux qui marquèrent à jamais l'art de recevoir au XXe siècle. A la suite des soirées du comte Etienne de Beaumont et du célèbre bal Beistegui à Venise (1951), Redé donna le bal des Têtes (1957) et l'extraordinaire bal Oriental (1969), immortalisés par Yves Saint Laurent et Alexandre Serebriakoff. Témoin privilégié de cette société internationale disparue, le baron de Redé fait revivre une pléiade de personnages de légende, tels que Jean Cocteau, Hélène Rochas, le marquis de Cuevas, les Windsor, Christian Dior, Barbara Hutton, le prince Rupert zu Loewenstein, Daisy de Cabrol, lady Mendl, Elsa Maxwell, Etti Plesch, Ghislaine de Polignac, Paul Rodocanachi, Andy Warhol, Louise de Vilmorin, Francine Weisweiller, Nancy Mitford, Salvador Dalí, Jacqueline de Ribes, Rudolf Noureev, Margrethe de Danemark, Audrey Hepburn, les Pecci-Blunt, Charlotte Aillaud, les Pompidou et tant d'autres.
Illustré de 225 photos. Index de plus de 600 noms.