Barbara L'Ensorceleuse
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- Nombre de pages167
- PrésentationBroché
- Poids0.385 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-86808-154-1
- EAN9782868081544
- Date de parution21/09/2000
- CollectionChanson plus
- ÉditeurChristian Pirot (Editions)
Résumé
Un après-midi de novembre 1997, une longue insomnie s'achevait. Barbara rejoignait son aigle noir. On l'avait étiquetée "rive gauche" jadis : elle chantait aux faubourgs de minuit à "l'Ecluse", un cabaret de Saint-Germain-des-Prés. Par la grâce de ses chansons - le jour où elle avait osé dire qu'elle en était l'auteur - elle était devenue une artiste singulière. "Dis quand reviendras-tu ? " "Nantes, "Une petite cantate" , "Marienbad" ...
Barbara a promené sa plus belle histoire d'amour quatre décennies durant, de Bobino à Pantin, du Zénith au Théâtre du Châtelet, transformant au fil des années son tour de chant en un show à grand spectacle. L'artiste était devenue star. Au-delà des notes, la longue dame brune, la tulipe noire, la mante-religieuse - de combien de métaphores ne l'avait-on affublée ? -, s'était révélée humaine, préoccupée du sort des exclus, des malades, des détenus.
De "Chapeau bas" à "Perlimpinpin, de "Göttingen" à "Sid'amour à mort" , Jean-Daniel Belfond, éditeur, évoque la vie de la plus ensorceleuse des "pianistes chantantes".
Barbara a promené sa plus belle histoire d'amour quatre décennies durant, de Bobino à Pantin, du Zénith au Théâtre du Châtelet, transformant au fil des années son tour de chant en un show à grand spectacle. L'artiste était devenue star. Au-delà des notes, la longue dame brune, la tulipe noire, la mante-religieuse - de combien de métaphores ne l'avait-on affublée ? -, s'était révélée humaine, préoccupée du sort des exclus, des malades, des détenus.
De "Chapeau bas" à "Perlimpinpin, de "Göttingen" à "Sid'amour à mort" , Jean-Daniel Belfond, éditeur, évoque la vie de la plus ensorceleuse des "pianistes chantantes".
Un après-midi de novembre 1997, une longue insomnie s'achevait. Barbara rejoignait son aigle noir. On l'avait étiquetée "rive gauche" jadis : elle chantait aux faubourgs de minuit à "l'Ecluse", un cabaret de Saint-Germain-des-Prés. Par la grâce de ses chansons - le jour où elle avait osé dire qu'elle en était l'auteur - elle était devenue une artiste singulière. "Dis quand reviendras-tu ? " "Nantes, "Une petite cantate" , "Marienbad" ...
Barbara a promené sa plus belle histoire d'amour quatre décennies durant, de Bobino à Pantin, du Zénith au Théâtre du Châtelet, transformant au fil des années son tour de chant en un show à grand spectacle. L'artiste était devenue star. Au-delà des notes, la longue dame brune, la tulipe noire, la mante-religieuse - de combien de métaphores ne l'avait-on affublée ? -, s'était révélée humaine, préoccupée du sort des exclus, des malades, des détenus.
De "Chapeau bas" à "Perlimpinpin, de "Göttingen" à "Sid'amour à mort" , Jean-Daniel Belfond, éditeur, évoque la vie de la plus ensorceleuse des "pianistes chantantes".
Barbara a promené sa plus belle histoire d'amour quatre décennies durant, de Bobino à Pantin, du Zénith au Théâtre du Châtelet, transformant au fil des années son tour de chant en un show à grand spectacle. L'artiste était devenue star. Au-delà des notes, la longue dame brune, la tulipe noire, la mante-religieuse - de combien de métaphores ne l'avait-on affublée ? -, s'était révélée humaine, préoccupée du sort des exclus, des malades, des détenus.
De "Chapeau bas" à "Perlimpinpin, de "Göttingen" à "Sid'amour à mort" , Jean-Daniel Belfond, éditeur, évoque la vie de la plus ensorceleuse des "pianistes chantantes".