Baraques. Histoire des maisons préfabriquées d'après-guerre

Par : Elisabeth Blanchet, Martine Câtel, Mickaël Sendra

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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions24,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-8138-1419-7
  • EAN9782813814197
  • Date de parution17/11/2021
  • ÉditeurSutton éditions
  • PréfacierElisabeth Loir-Mongazon

Résumé

Baraques, baraquements, préfabriqués, préfas ou préfabs ? Ces mots renvoient tous à un certain type d'habitat provisoire et d'urgence sur lequel beaucoup ne s'attardent pas. Très peu documentées et encore moins valorisées, les baraques d'après-guerre présentaient à l'époque des atouts insoupçonnés, tant sur les plans architecturaux que sociaux et économiques. Non seulement leur type de construction préfabriquée a permis de reloger les sinistrés de la guerre rapidement, de créer des cités provisoires dont certaines deviendront des communautés fortes et soudées, mais aussi d'innover en matière de design et de confort...
Résultat : soixante-quinze ans après leur construction, des milliers de baraques provisoires d'après-guerre sont toujours debout et choyées par leurs propriétaires. Derrière la connotation péjorative du mot "baraque", souvent assimilée à des maisons mal conçues, des taudis, des abris pour animaux, se cache en réalité une multitude d'expériences urbaines et humaines. D'une pérennité inattendue, elles furent indispensables à la reconstruction de l'Europe et inspirent de nouveau les architectes et les politiques actuels dans la gestion des crises du logement.
Baraques, baraquements, préfabriqués, préfas ou préfabs ? Ces mots renvoient tous à un certain type d'habitat provisoire et d'urgence sur lequel beaucoup ne s'attardent pas. Très peu documentées et encore moins valorisées, les baraques d'après-guerre présentaient à l'époque des atouts insoupçonnés, tant sur les plans architecturaux que sociaux et économiques. Non seulement leur type de construction préfabriquée a permis de reloger les sinistrés de la guerre rapidement, de créer des cités provisoires dont certaines deviendront des communautés fortes et soudées, mais aussi d'innover en matière de design et de confort...
Résultat : soixante-quinze ans après leur construction, des milliers de baraques provisoires d'après-guerre sont toujours debout et choyées par leurs propriétaires. Derrière la connotation péjorative du mot "baraque", souvent assimilée à des maisons mal conçues, des taudis, des abris pour animaux, se cache en réalité une multitude d'expériences urbaines et humaines. D'une pérennité inattendue, elles furent indispensables à la reconstruction de l'Europe et inspirent de nouveau les architectes et les politiques actuels dans la gestion des crises du logement.