Balzac. Le Roman De La Communication, Conversations, Lettres, Silences Dans La Comedie Humaine

Par : Florence Terrasse-Riou

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  • Nombre de pages159
  • PrésentationBroché
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions16,1 cm × 24,1 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7181-9323-9
  • EAN9782718193236
  • Date de parution27/10/2000
  • CollectionBicentenaire
  • ÉditeurSedes

Résumé

Dans La Comédie humaine, la communication est à la fois omniprésente et extraordinairement difficile, guettée par les malentendus et les quiproquos. Un mot vous ouvre un salon, un mot vous le ferme. Les lettres peuvent se perdre, être détournées, brûlées, réécrites. Des îles, des grilles, des seuils dessinent une géographie balzacienne de la communication. Les personnages s'y risquent dans des passages toujours possibles mais jamais assurés. Pour Rastignac comme pour Rubempré, pour Mme de Mortsauf comme pour la princesse de Cadignan, pour la duchesse de Langeais, pour Eugénie Grandet ou pour la baronne Hulot, les échanges sont aléatoires. Dans les dialogues ou les correspondances, Modeste Mignon, Rosalie de Watteville, Nucingen, Louise de Chaulieu nous font pénétrer dans une ère du soupçon, car en ce XIXe siècle jalonné de révolutions, il n'est plus certain que chacun parle de sa place. La circulation généralisée des informations, de l'argent, des femmes, devient autant un risque qu'une chance. Balzac apparaît ainsi comme le romancier de tous les discours possibles. Ce volume est le troisième de la " Collection du Bicentenaire " qui, sous le patronage du Groupe International de Recherches Balzaciennes et sous la direction de Nicole Mozet, accompagne les commémorations de la naissance et de la mort de Balzac.
Dans La Comédie humaine, la communication est à la fois omniprésente et extraordinairement difficile, guettée par les malentendus et les quiproquos. Un mot vous ouvre un salon, un mot vous le ferme. Les lettres peuvent se perdre, être détournées, brûlées, réécrites. Des îles, des grilles, des seuils dessinent une géographie balzacienne de la communication. Les personnages s'y risquent dans des passages toujours possibles mais jamais assurés. Pour Rastignac comme pour Rubempré, pour Mme de Mortsauf comme pour la princesse de Cadignan, pour la duchesse de Langeais, pour Eugénie Grandet ou pour la baronne Hulot, les échanges sont aléatoires. Dans les dialogues ou les correspondances, Modeste Mignon, Rosalie de Watteville, Nucingen, Louise de Chaulieu nous font pénétrer dans une ère du soupçon, car en ce XIXe siècle jalonné de révolutions, il n'est plus certain que chacun parle de sa place. La circulation généralisée des informations, de l'argent, des femmes, devient autant un risque qu'une chance. Balzac apparaît ainsi comme le romancier de tous les discours possibles. Ce volume est le troisième de la " Collection du Bicentenaire " qui, sous le patronage du Groupe International de Recherches Balzaciennes et sous la direction de Nicole Mozet, accompagne les commémorations de la naissance et de la mort de Balzac.