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  • Nombre de pages512
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.512 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-36360-433-0
  • EAN9782363604330
  • Date de parution15/09/2017
  • CollectionRoman
  • ÉditeurFeryane

Résumé

Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les souffrances de l'esclavage. Rachetée à l'adolescence par le consul d'Italie, elle découvre un pays d'inégalités, de pauvreté et d'exclusion. Affranchie, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales en vouant sa vie aux enfants pauvres. Bakhita est le roman bouleversant de cette femme exceptionnelle qui fut tour à tour captive, domestique, religieuse et sainte.
Avec une rare puissance d'évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, la force et la grandeur d'âme dont la source cachée puise au souvenir de sa petite enfance.
Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les souffrances de l'esclavage. Rachetée à l'adolescence par le consul d'Italie, elle découvre un pays d'inégalités, de pauvreté et d'exclusion. Affranchie, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales en vouant sa vie aux enfants pauvres. Bakhita est le roman bouleversant de cette femme exceptionnelle qui fut tour à tour captive, domestique, religieuse et sainte.
Avec une rare puissance d'évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, la force et la grandeur d'âme dont la source cachée puise au souvenir de sa petite enfance.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Thomas C.Decitre Ecully
5/5
Une héroïne bouleversante !
Dans ce livre, vous ferez une rencontre décisive, marquante, bouleversante. Celle d’une femme exceptionnelle, d’une héroïne : Bakhita. 1874, Bakhita, jeune fille vendue, arrachée à son village, puis à son Soudan natal, elle passera, esclave, de mains en mains. Elle trouvera son salut, et aussi sa liberté, dans la religion, son amour de Dieu, le don de son corps et celui de sa vie, à celui qui ne pourra plus l’atteindre, lui nuire. Deviendra d’ailleurs la première femme noire canonisée par Jean Paul II. Porté par une écriture puissante et poétique, par un souffle romanesque épique, ce roman est une perle que vous chérirez, offrirez, que vous n’oublierez jamais...
Dans ce livre, vous ferez une rencontre décisive, marquante, bouleversante. Celle d’une femme exceptionnelle, d’une héroïne : Bakhita. 1874, Bakhita, jeune fille vendue, arrachée à son village, puis à son Soudan natal, elle passera, esclave, de mains en mains. Elle trouvera son salut, et aussi sa liberté, dans la religion, son amour de Dieu, le don de son corps et celui de sa vie, à celui qui ne pourra plus l’atteindre, lui nuire. Deviendra d’ailleurs la première femme noire canonisée par Jean Paul II. Porté par une écriture puissante et poétique, par un souffle romanesque épique, ce roman est une perle que vous chérirez, offrirez, que vous n’oublierez jamais...
Sylvie ThomassonDecitre Part-Dieu
4/5
Esclave
Bakhita, c'est "la chanceuse", surnom donné à l'héroïne de ce roman extraordinaire, par l'un de ses premiers maîtres. Elle est née en 1869 à Olgossa au Soudan et fût enlevée à l'âge de sept ans près de son village. De maître en maître et de souffrances en souffrances, Bakhita toujours reste forte et tente de protéger les plus faibles; Puis elle finira par quitter l'Afrique pour l'Italie, parfois aidée , parfois soumise à des caprices pour devenir religieuse puis sainte. Son seul désespoir si l'on peut dire fût de parler un langage mèlé d'arabe, de turc et de patois vénétien et ne jamais retrouver sa langue natale. Un portrait de femme extraordinaire et une découverte pour moi de ce personnage et de cette époque.
Bakhita, c'est "la chanceuse", surnom donné à l'héroïne de ce roman extraordinaire, par l'un de ses premiers maîtres. Elle est née en 1869 à Olgossa au Soudan et fût enlevée à l'âge de sept ans près de son village. De maître en maître et de souffrances en souffrances, Bakhita toujours reste forte et tente de protéger les plus faibles; Puis elle finira par quitter l'Afrique pour l'Italie, parfois aidée , parfois soumise à des caprices pour devenir religieuse puis sainte. Son seul désespoir si l'on peut dire fût de parler un langage mèlé d'arabe, de turc et de patois vénétien et ne jamais retrouver sa langue natale. Un portrait de femme extraordinaire et une découverte pour moi de ce personnage et de cette époque.
AirelleDecitre Chambéry
5/5
Magistral
Ce récit vous prend par la main (qu'il ne la lâchera jamais), et vous embarque dans l'histoire bouleversante d'une petite fille devenue femme, malgré tout. Ses premiers « propriétaires » l'ont appelée Bakhita, la chanceuse. Elle a dû s'accommoder de ce surnom, jusqu'à en oublier son vrai nom, celui que son père a dit à la lune le soir de sa naissance. et cet oubli est un désespoir. Elle grandit dans la violence foudroyante de l'esclavage, la peur, et la lutte pour la survie. Son parcours est celui d'une femme qui a su garder sa tendresse et son humanité malgré les supplices. Mais c'est aussi un formidable hommage à ceux qui ont subi l'esclavage, et plus largement à tous ceux qui ont faim. Véronique Olmi a su parler magnifiquement de cette femme incroyable. Il n'y a jamais de pathos, de jugement, de misérabilisme. Le ton est juste. percutant. puissant. La langue inventée, bancale, bricolée par cette femme qui a oublié sa langue natale est subtilement rendue par le style et le rythme du livre. C'est pour moi indéniablement l'un des plus beaux livres de la rentrée littéraire.
Ce récit vous prend par la main (qu'il ne la lâchera jamais), et vous embarque dans l'histoire bouleversante d'une petite fille devenue femme, malgré tout. Ses premiers « propriétaires » l'ont appelée Bakhita, la chanceuse. Elle a dû s'accommoder de ce surnom, jusqu'à en oublier son vrai nom, celui que son père a dit à la lune le soir de sa naissance. et cet oubli est un désespoir. Elle grandit dans la violence foudroyante de l'esclavage, la peur, et la lutte pour la survie. Son parcours est celui d'une femme qui a su garder sa tendresse et son humanité malgré les supplices. Mais c'est aussi un formidable hommage à ceux qui ont subi l'esclavage, et plus largement à tous ceux qui ont faim. Véronique Olmi a su parler magnifiquement de cette femme incroyable. Il n'y a jamais de pathos, de jugement, de misérabilisme. Le ton est juste. percutant. puissant. La langue inventée, bancale, bricolée par cette femme qui a oublié sa langue natale est subtilement rendue par le style et le rythme du livre. C'est pour moi indéniablement l'un des plus beaux livres de la rentrée littéraire.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 6 notes dont 4 avis lecteurs
Une vie d'esclave
Le sujet du livre est extra-ordinaire. La réalité dépasse comme toujours/souvent la fiction. Le destin de cette femme est à peine croyable, horrible et d'une humanité pénétrante. Mais le texte de Véronique Olmi m'a trop souvent laissé sur le bord du chemin, en spectateur. Le choix de la narration à la troisième personne est peut-être en partie responsable de ce sentiment. Et puis je n'ai pas eu assez souvent la sensation de me tenir aux côtés de cette femme, ce que j'aurais voulu en creusant certains aspects de son destin. L'auteur fait le choix de ne pas rentrer dans certains détails, certaines polémiques alors que pour moi le souffle romanesque de la vie de Bakhita est là. Par exemple V. OLMI nous parlent des séparations qui vont marquer la vie de Bakhita, de son enlèvement au départ d'une petite protégée à la veille de la seconde guerre mondiale sans tisser un lien particulier entre celles-ci. Contrairement à d'autres avis et, pour moi, à une lecture édulcorée de la vie de Bakhita, je reste avec le sentiment qu'elle n'est jamais sorti de la soumission, à ses maîtres, à l'église catholique, au régime de Mussolini. Mais elle a fait un choix, vitale, indispensable, de partir d'Afrique et de ne pas retourner sur ce continent, pour survivre, pour se protéger. Quitte à servir l'image du "bon africain" sauvé par l'Europe, quitte à servir le régime fasciste. C'est le destin de cet être humain emporté par l'histoire qui nous est conté. Et V. OLMI le fait néanmoins avec beaucoup de simplicité et d'humanité, à l'image de son personnage. PS : Pourquoi ne pas avoir mis une photo de la vraie Bakhita en page de couverture ?...
Le sujet du livre est extra-ordinaire. La réalité dépasse comme toujours/souvent la fiction. Le destin de cette femme est à peine croyable, horrible et d'une humanité pénétrante. Mais le texte de Véronique Olmi m'a trop souvent laissé sur le bord du chemin, en spectateur. Le choix de la narration à la troisième personne est peut-être en partie responsable de ce sentiment. Et puis je n'ai pas eu assez souvent la sensation de me tenir aux côtés de cette femme, ce que j'aurais voulu en creusant certains aspects de son destin. L'auteur fait le choix de ne pas rentrer dans certains détails, certaines polémiques alors que pour moi le souffle romanesque de la vie de Bakhita est là. Par exemple V. OLMI nous parlent des séparations qui vont marquer la vie de Bakhita, de son enlèvement au départ d'une petite protégée à la veille de la seconde guerre mondiale sans tisser un lien particulier entre celles-ci. Contrairement à d'autres avis et, pour moi, à une lecture édulcorée de la vie de Bakhita, je reste avec le sentiment qu'elle n'est jamais sorti de la soumission, à ses maîtres, à l'église catholique, au régime de Mussolini. Mais elle a fait un choix, vitale, indispensable, de partir d'Afrique et de ne pas retourner sur ce continent, pour survivre, pour se protéger. Quitte à servir l'image du "bon africain" sauvé par l'Europe, quitte à servir le régime fasciste. C'est le destin de cet être humain emporté par l'histoire qui nous est conté. Et V. OLMI le fait néanmoins avec beaucoup de simplicité et d'humanité, à l'image de son personnage. PS : Pourquoi ne pas avoir mis une photo de la vraie Bakhita en page de couverture ?...
  • esclavage
  • religion
  • Soudan
  • fascisme
  • colonialisme
  • Histoire des mentalités
Bakhita
livre sur l'esclavage d'une petite fille enlevée dès ses 7 ans passant de maitres . Bakhita saura se faire apprécier et faire oublier sa couleur de peau très beau roman à lire absolument
livre sur l'esclavage d'une petite fille enlevée dès ses 7 ans passant de maitres . Bakhita saura se faire apprécier et faire oublier sa couleur de peau très beau roman à lire absolument
  • roman
epoustouflant
Une oeuvre magistrale. Dès le début du livre,on prend la main d'une petite fille et on ne la lâche qu'au jour de son dernier soupir. Bakhita naît au Soudan dans une tribu où elle se sait aimée, mais un jour, tout bascule et à 7 ans, elle est enlevée et va connaitre l'horreur de l'esclavage. Malgré les humiliations, la peur, la torture, elle n'aura de cesse d'aider et de préserver des enfants plus fragiles qu'elle sans hélas y arriver. A 14 ans, après avoir connu la barbarie et la violence de hommes, son cauchemar prend fin. Elle devient la domestique du consul italien et quand elle débarque en Italie, une autre vie commence. La couleur de sa peau lui vaut encore quelques humiliations mais dans sa nouvelle vie de religieuse,avec sa force et son humanité elle saura se faire aimée. Elle, petite fille avilie par la cruauté des hommes deviendra une icône pour un peuple. C'est le fabuleux destin d'une petite esclave devenue sainte.
Une oeuvre magistrale. Dès le début du livre,on prend la main d'une petite fille et on ne la lâche qu'au jour de son dernier soupir. Bakhita naît au Soudan dans une tribu où elle se sait aimée, mais un jour, tout bascule et à 7 ans, elle est enlevée et va connaitre l'horreur de l'esclavage. Malgré les humiliations, la peur, la torture, elle n'aura de cesse d'aider et de préserver des enfants plus fragiles qu'elle sans hélas y arriver. A 14 ans, après avoir connu la barbarie et la violence de hommes, son cauchemar prend fin. Elle devient la domestique du consul italien et quand elle débarque en Italie, une autre vie commence. La couleur de sa peau lui vaut encore quelques humiliations mais dans sa nouvelle vie de religieuse,avec sa force et son humanité elle saura se faire aimée. Elle, petite fille avilie par la cruauté des hommes deviendra une icône pour un peuple. C'est le fabuleux destin d'une petite esclave devenue sainte.
Véronique Olmi
Véronique Olmi, romancière et dramaturge, a déjà publié quatre romans chez Grasset, ainsi qu’une pièce de théâtre. Son dernier roman, Le Premier amour, s’est vendu à 50 000 exemplaires.
Le courage des innocents
Véronique Olmi
E-book
14,99 €
Le gosse
Véronique Olmi
Poche
8,90 €
Le gosse
Véronique Olmi
E-book
8,49 €
Bakhita
4.5/5
4.5/5
Véronique Olmi
Poche
9,90 €
Bakhita
4.5/5
4.5/5
Véronique Olmi
E-book
9,49 €
Bord de mer
5/5
3.2/5
Véronique Olmi
Poche
7,10 €
Les Evasions particulières
4.5/5
4.3/5
Véronique Olmi
E-book
8,99 €
Bakhita
4.5/5
4.5/5
Véronique Olmi
Grand Format
22,90 €
Numéro six
2/5
Véronique Olmi
Poche
4,60 €
Le premier amour
4/5
3.4/5
Véronique Olmi
E-book
6,99 €
Le gosse
Véronique Olmi
Grand Format
20,90 €