Bacchus. Un poème sans fins d'amours

Par : François Turner

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages130
  • PrésentationBroché
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-87661-391-3
  • EAN9782876613911
  • Date de parution17/11/2006
  • CollectionAu carré
  • ÉditeurAct Mem (L')

Résumé

Le poème est un poème d'amour. Sans fins d'amours, comme le précise son sous-titre, en référence au fin amors de la littérature courtoise, le code du " bienaimer ", en même temps qu'il fait entendre et dans l'histoire de la littérature et dans celle du sentiment (qui se répondent) du romantique amour sans fin, touchant l'éternité du sentiment lui-même. En même temps encore qu'il s'en dégage, écrit " sans fins d'amours ", loin du souci du discours amoureux.
Cette triple polarité, d'un ciel, d'un code (terrestre), et d'un dégagement, pose le dégagement du poème lui-même, en tant qu'il entreprend ici de parler d'amour, une histoire vraie - et tâche d'y créer son propre code, dans le texte et contre le texte, dans et contre le poème qui s'écrit en se précisant contre soi-même. Dans la " vie rêvée " (nervalienne ?), dans du réinventé que l'amour non seulement suscite mais ici exige.
Le poème est un poème d'amour. Sans fins d'amours, comme le précise son sous-titre, en référence au fin amors de la littérature courtoise, le code du " bienaimer ", en même temps qu'il fait entendre et dans l'histoire de la littérature et dans celle du sentiment (qui se répondent) du romantique amour sans fin, touchant l'éternité du sentiment lui-même. En même temps encore qu'il s'en dégage, écrit " sans fins d'amours ", loin du souci du discours amoureux.
Cette triple polarité, d'un ciel, d'un code (terrestre), et d'un dégagement, pose le dégagement du poème lui-même, en tant qu'il entreprend ici de parler d'amour, une histoire vraie - et tâche d'y créer son propre code, dans le texte et contre le texte, dans et contre le poème qui s'écrit en se précisant contre soi-même. Dans la " vie rêvée " (nervalienne ?), dans du réinventé que l'amour non seulement suscite mais ici exige.