Avec De Gaulle. Du Tchad 1941 A Baden 1968

Par : Général Massu

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages202
  • PrésentationBroché
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,2 cm × 20,1 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-268-02926-3
  • EAN9782268029269
  • Date de parution26/05/1998
  • ÉditeurRocher (Editions du)

Résumé

1er mai 1941 au Tchad, dans la région désertique du Tibesti. Le capitaine d'infanterie coloniale Massu, commandant le poste de Zouar - quelques casemates rudimentaires faites de pierres et de banco - reçoit la visite du chef de la France libre, le général De Gaulle, auquel il s'est rallié pendant l'été 1940. De cette première rencontre, Massu écrira sur son journal de poste : " Un grand monsieur bienveillant et froid, un peu fatigué, écœuré de pas mal de choses et de gens. Nous finirons par gagner la guerre. " Le 29 mai 1968, à 14h45, le général Massu, commandant les Forces Françaises en Allemagne, à Baden-Baden, reçoit un appel téléphonique l'informant que le général de Gaulle, président de la République, a quitté Paris dans le plus grand secret et va se poser dans quelques minutes sur l'héliport de la résidence. Commence alors une étonnante visite sur laquelle beaucoup s'interrogent encore aujourd'hui. Entre ces deux dates, vingt-cinq ans d'une relation faite d'admiration, d'amitié, de controverses, et surtout de fidélité. De rencontres en rencontres, ce sont ses liens avec cette personnalité complexe que le général Massu évoque aujourd'hui. Le regard lucide et sans complaisance d'un soldat sur le chef qu'il s'est choisi.
1er mai 1941 au Tchad, dans la région désertique du Tibesti. Le capitaine d'infanterie coloniale Massu, commandant le poste de Zouar - quelques casemates rudimentaires faites de pierres et de banco - reçoit la visite du chef de la France libre, le général De Gaulle, auquel il s'est rallié pendant l'été 1940. De cette première rencontre, Massu écrira sur son journal de poste : " Un grand monsieur bienveillant et froid, un peu fatigué, écœuré de pas mal de choses et de gens. Nous finirons par gagner la guerre. " Le 29 mai 1968, à 14h45, le général Massu, commandant les Forces Françaises en Allemagne, à Baden-Baden, reçoit un appel téléphonique l'informant que le général de Gaulle, président de la République, a quitté Paris dans le plus grand secret et va se poser dans quelques minutes sur l'héliport de la résidence. Commence alors une étonnante visite sur laquelle beaucoup s'interrogent encore aujourd'hui. Entre ces deux dates, vingt-cinq ans d'une relation faite d'admiration, d'amitié, de controverses, et surtout de fidélité. De rencontres en rencontres, ce sont ses liens avec cette personnalité complexe que le général Massu évoque aujourd'hui. Le regard lucide et sans complaisance d'un soldat sur le chef qu'il s'est choisi.