Au rendez-vous des mortels. Le déni de la mort dans la culture moderne, de Descartes au transhumanisme

Par : Jacques Luzi
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages130
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-95432-15-9
  • EAN9791095432159
  • Date de parution11/04/2019
  • ÉditeurLa Lenteur éditions

Résumé

"Venez, s'époumone le transhumaniste dans son mégaphone médiatique, c'est moi qui vends le baume souverain, c'est moi qui détiens le fil d'Ariane conduisant hors du labyrinthe de la souffrance et de l'ennui ! Suivez-moi, je serai votre pasteur et vous serez mon troupeau, et nous cheminerons ensemble — moi dessus, vous dessous —vers les champs gras et frais de l'âge d'or ! " Peu lui importe que ceux qui ne suivent pas soient abandonnés à la désolation ou à la famine.
Peu lui importe que ceux qui résistent soient soumis à la brutalité militaro-policière robotisée. Peu lui importe que, pour "gagner sur le temps", il faille sacrifier le troupeau des consentants à la division, la mécanisation et l'anomie. "Il n'en est que plus aisément malléable", ricane-t-il doucement. Peu lui importe que, pour pérenniser l'engraissage du Dieu-argent, il faille faire de la souffrance propre à la condition humaine l'instrument de la souffrance artificiellement reconduite.
"C'est là un filon indéfiniment exploitable", se réjouit-il en clignant de l'oeil...
"Venez, s'époumone le transhumaniste dans son mégaphone médiatique, c'est moi qui vends le baume souverain, c'est moi qui détiens le fil d'Ariane conduisant hors du labyrinthe de la souffrance et de l'ennui ! Suivez-moi, je serai votre pasteur et vous serez mon troupeau, et nous cheminerons ensemble — moi dessus, vous dessous —vers les champs gras et frais de l'âge d'or ! " Peu lui importe que ceux qui ne suivent pas soient abandonnés à la désolation ou à la famine.
Peu lui importe que ceux qui résistent soient soumis à la brutalité militaro-policière robotisée. Peu lui importe que, pour "gagner sur le temps", il faille sacrifier le troupeau des consentants à la division, la mécanisation et l'anomie. "Il n'en est que plus aisément malléable", ricane-t-il doucement. Peu lui importe que, pour pérenniser l'engraissage du Dieu-argent, il faille faire de la souffrance propre à la condition humaine l'instrument de la souffrance artificiellement reconduite.
"C'est là un filon indéfiniment exploitable", se réjouit-il en clignant de l'oeil...