Au nom du père, du fils et du rock'n'roll

Par : Harold Cobert

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  • Nombre de pages264
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.142 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-253-17985-6
  • EAN9782253179856
  • Date de parution11/03/2015
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Surfeur fanfaron, bourreau des coeurs, Victor est un adolescent frondeur, en rébellion contre l'autorité paternelle. Ce qu'il ignore, c'est que son père a lui aussi été contestataire. Avec l'émergence du rock des années 1960-1970, Christian a délaissé un brillant avenir de mathématicien pour devenir une figure incontournable de la nuit. Connu sous le nom de M. Best, le roi des platines, il a élevé son fils au prix de sacrifices, sans reconnaissance aucune de la part de son rejeton.
Quelques jours à deux au Québec sont la dernière occasion pour eux de renouer et de synchroniser leur tempo. De Paris à Bordeaux, non sans un crochet par le Cap-Ferret, Au nom du père, du fils et du rock'n'roll compose une mélodie nostalgique et nerveuse sur les beats de Jimi Hendrix et des Rolling Stones. Un roman âpre, mordant et tendre sur le lien de filiation.
Surfeur fanfaron, bourreau des coeurs, Victor est un adolescent frondeur, en rébellion contre l'autorité paternelle. Ce qu'il ignore, c'est que son père a lui aussi été contestataire. Avec l'émergence du rock des années 1960-1970, Christian a délaissé un brillant avenir de mathématicien pour devenir une figure incontournable de la nuit. Connu sous le nom de M. Best, le roi des platines, il a élevé son fils au prix de sacrifices, sans reconnaissance aucune de la part de son rejeton.
Quelques jours à deux au Québec sont la dernière occasion pour eux de renouer et de synchroniser leur tempo. De Paris à Bordeaux, non sans un crochet par le Cap-Ferret, Au nom du père, du fils et du rock'n'roll compose une mélodie nostalgique et nerveuse sur les beats de Jimi Hendrix et des Rolling Stones. Un roman âpre, mordant et tendre sur le lien de filiation.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 6 notes dont 2 avis lecteurs
2/5
Tel père, tel fils
Victor, enfant et adolescent rebelle, s'oppose sans cesse à son père, Christian. Ce qu'il ignore, et qu'il va découvrir bien tard, c'est que son père était lui-même un insoumis. Un livre qui se lit facilement, construit en deux principales parties : d'un côté l'enfance difficile de Christian, de l'autre l'enfance gâtée de Victor malgré le divorce de ses parents. Enfin, comme un adieu ou une excuse de Victor à son père s'immisce entre les chapitres. Une histoire prometteuse qui m'a laissée sur ma fin. Je n'ai pas trouvé le réel côté rock'n roll. Une histoire de famille, ni plus, ni moins.
Victor, enfant et adolescent rebelle, s'oppose sans cesse à son père, Christian. Ce qu'il ignore, et qu'il va découvrir bien tard, c'est que son père était lui-même un insoumis. Un livre qui se lit facilement, construit en deux principales parties : d'un côté l'enfance difficile de Christian, de l'autre l'enfance gâtée de Victor malgré le divorce de ses parents. Enfin, comme un adieu ou une excuse de Victor à son père s'immisce entre les chapitres. Une histoire prometteuse qui m'a laissée sur ma fin. Je n'ai pas trouvé le réel côté rock'n roll. Une histoire de famille, ni plus, ni moins.
  • XXe siècle
  • Paris
  • Bordeaux
4/5
Un prière, la messe est dite.
Paris. Bordeaux. Underground. Musique. Alcool. Les filles… Christian Noème. Le père. Côte basque. Bordeaux. Océan. Surf. Alcool. Les filles… Victor Noème. Le fils. Bordeaux. Livres. … (je n'en sais pas plus sur lui). Harold Cobert. L'écrivain. Sud-Est. Musique. Livres. Océan. Pas d'alcool. Les garçons… Éléonore B. La lectrice. Le père. Le fils. Un album (de famille) ouvert par l'écrivain que la lectrice a écouté lu avec plaisir. Un album mouvementé tel l'océan (Atlantique des côtes basques), rythmé comme un bon vieux titre Rock des années '60 et où on s'y bal(l)ade comme on danserait sur un bon vieux slow. Stand by me (Ben E. King). Une déferlante de souvenirs faite de vague à l'âme des hommes Noème. Au nom du père, du fils et du rock'n'roll échappe. Surprend. Colle au cœur et au corps. C'est comme l'océan. L'eau. Un comble pour un roman contant les débuts (et la fin) du rock, le "vrai" et son alcool & sexe qui l'accompagne. On hésite avant de se jeter à l'eau. Puis, une fois qu'on a plongé… sensations incroyables à en perdre pied. N'ayez crainte ! Une bouteille (à la mer) sera là pour vous secourir. Message in the bottle (The Police). Autant de métaphores filées (qui, j'espère, ne vous ont pas faire perdre le fil…) à prendre au pied de la lettre et/ou à lire entre les lignes pour connaître mon ressenti après la lecture de Au nom du père, du fils et du rock'n'roll. Un début à tâtons, donc. Mais une fois la machine (sex machine ?) en route, on ne peut plus s'arrêter. Oh ! Bien sûr qu'il n'y a pas de surprises ni de suspens sur le dénouement. Non. L'essentiel du roman se base sur l'intrigue. Le chemin qu'emprunte Harold Cobert pour nous faire découvrir l'histoire de Noème Père & Fils. Une histoire de famille. Une histoire entre un père et son fils. Histoire de guerre de générations et surtout d'amour tel un éloge ou telle une prière sur les relations parents-enfants. Ma messe est dite écrite. Avant de publier cet article, j'aimerais préciser que ces mots écrits ne sont pas ceux pensés. Ils correspondent bien à mes émotions, mais les (mots) pensés devaient vous parler de références. L'une littéraire et l'autre cinématographique. Parce qu'en lisant Au nom du père, du fils et du rock'n'roll, j'ai eu des souvenirs pour Léa Delmas et François Tavernier, deux autres bordelais. Héros de la saga La bicyclette bleue où Régine Deforges aussi nous avait fait voyager dans le temps autour d'un thème bien particulier, la guerre. Parce qu'Harold Cobert, comme Régine Deforges, parle aussi de la bourgeoisie bordelaise. Parce que Léa et Victor ont en commun ce désir de briller, réussir suite à leurs blessures passées. Parce que les deux écrivains ont utilisé un thème central pour nous conter leur histoire. Je ne pouvais en parler. Quant à la cinématographique… Là, elle concerne la structure du bouquin. C'est la même que pour le film Pulp Fiction (Quentin Tarantino). Le début rejoint la fin. Et au milieu nous avons toutes les explications qui ont mené à ces deux bouts. Clap final. Je vous laisse écouter ou réécouter LA chanson française réunissant pratiquement tous les groupes de la BOL (bande originale du livre) du roman et qui selon moi représente le livre. Et moi, un jour, je chanterai : « On a tous dans l'cœur un p'tit bouquin oublié, un vieil auteur de rêve qui nous faisait évader. Et la p'tite fille chantait, et la p'tite fille chantait un truc qui m'colle encore au cœur et au corps.» Un livre lu à quatre yeux avec Erika.(pageaprespage.wordpress.com)
Paris. Bordeaux. Underground. Musique. Alcool. Les filles… Christian Noème. Le père. Côte basque. Bordeaux. Océan. Surf. Alcool. Les filles… Victor Noème. Le fils. Bordeaux. Livres. … (je n'en sais pas plus sur lui). Harold Cobert. L'écrivain. Sud-Est. Musique. Livres. Océan. Pas d'alcool. Les garçons… Éléonore B. La lectrice. Le père. Le fils. Un album (de famille) ouvert par l'écrivain que la lectrice a écouté lu avec plaisir. Un album mouvementé tel l'océan (Atlantique des côtes basques), rythmé comme un bon vieux titre Rock des années '60 et où on s'y bal(l)ade comme on danserait sur un bon vieux slow. Stand by me (Ben E. King). Une déferlante de souvenirs faite de vague à l'âme des hommes Noème. Au nom du père, du fils et du rock'n'roll échappe. Surprend. Colle au cœur et au corps. C'est comme l'océan. L'eau. Un comble pour un roman contant les débuts (et la fin) du rock, le "vrai" et son alcool & sexe qui l'accompagne. On hésite avant de se jeter à l'eau. Puis, une fois qu'on a plongé… sensations incroyables à en perdre pied. N'ayez crainte ! Une bouteille (à la mer) sera là pour vous secourir. Message in the bottle (The Police). Autant de métaphores filées (qui, j'espère, ne vous ont pas faire perdre le fil…) à prendre au pied de la lettre et/ou à lire entre les lignes pour connaître mon ressenti après la lecture de Au nom du père, du fils et du rock'n'roll. Un début à tâtons, donc. Mais une fois la machine (sex machine ?) en route, on ne peut plus s'arrêter. Oh ! Bien sûr qu'il n'y a pas de surprises ni de suspens sur le dénouement. Non. L'essentiel du roman se base sur l'intrigue. Le chemin qu'emprunte Harold Cobert pour nous faire découvrir l'histoire de Noème Père & Fils. Une histoire de famille. Une histoire entre un père et son fils. Histoire de guerre de générations et surtout d'amour tel un éloge ou telle une prière sur les relations parents-enfants. Ma messe est dite écrite. Avant de publier cet article, j'aimerais préciser que ces mots écrits ne sont pas ceux pensés. Ils correspondent bien à mes émotions, mais les (mots) pensés devaient vous parler de références. L'une littéraire et l'autre cinématographique. Parce qu'en lisant Au nom du père, du fils et du rock'n'roll, j'ai eu des souvenirs pour Léa Delmas et François Tavernier, deux autres bordelais. Héros de la saga La bicyclette bleue où Régine Deforges aussi nous avait fait voyager dans le temps autour d'un thème bien particulier, la guerre. Parce qu'Harold Cobert, comme Régine Deforges, parle aussi de la bourgeoisie bordelaise. Parce que Léa et Victor ont en commun ce désir de briller, réussir suite à leurs blessures passées. Parce que les deux écrivains ont utilisé un thème central pour nous conter leur histoire. Je ne pouvais en parler. Quant à la cinématographique… Là, elle concerne la structure du bouquin. C'est la même que pour le film Pulp Fiction (Quentin Tarantino). Le début rejoint la fin. Et au milieu nous avons toutes les explications qui ont mené à ces deux bouts. Clap final. Je vous laisse écouter ou réécouter LA chanson française réunissant pratiquement tous les groupes de la BOL (bande originale du livre) du roman et qui selon moi représente le livre. Et moi, un jour, je chanterai : « On a tous dans l'cœur un p'tit bouquin oublié, un vieil auteur de rêve qui nous faisait évader. Et la p'tite fille chantait, et la p'tite fille chantait un truc qui m'colle encore au cœur et au corps.» Un livre lu à quatre yeux avec Erika.(pageaprespage.wordpress.com)
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