Au coeur de l'activisme communiste des années de guerre froide. La manifestation Ridgway
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- Nombre de pages175
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-1674-8
- EAN9782738416742
- Date de parution18/09/1990
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le 28 mai 1952, quinze à vingt mille personnes, mobilisées aux quatre coins de la capitale à l'appel du parti communiste, disputent la rue aux forces de l'ordre à l'occasion de la venue à Paris du général américain Ridgway. Il en coûtera un mort, des centaines de blessés, plus de sept cents interpellations dont celle de Jacques Duclos. Qualifiée, un temps, de "grande journée de lutte du peuple parisien", cette manifestation fut la dernière d'un genre que l'on cessa bientôt de célébrer, même si les acteurs devaient en garder un vif souvenir.
A quarante ans de distance, la violence, typique des années de guerre froide, surprend et intrigue. Par-delà les traits généraux du communisme français, l'auteur nous propose une plongée, à travers l'étude de l'événement, dans l'univers encore mal connu des "activistes" parisiens, hommes clés du PCF, adeptes dévoués jusqu'à l'aveuglement d'un stalinisme perçu et vécu comme une mystique de lutte. Pour le meilleur et pour le pire.
A quarante ans de distance, la violence, typique des années de guerre froide, surprend et intrigue. Par-delà les traits généraux du communisme français, l'auteur nous propose une plongée, à travers l'étude de l'événement, dans l'univers encore mal connu des "activistes" parisiens, hommes clés du PCF, adeptes dévoués jusqu'à l'aveuglement d'un stalinisme perçu et vécu comme une mystique de lutte. Pour le meilleur et pour le pire.
Le 28 mai 1952, quinze à vingt mille personnes, mobilisées aux quatre coins de la capitale à l'appel du parti communiste, disputent la rue aux forces de l'ordre à l'occasion de la venue à Paris du général américain Ridgway. Il en coûtera un mort, des centaines de blessés, plus de sept cents interpellations dont celle de Jacques Duclos. Qualifiée, un temps, de "grande journée de lutte du peuple parisien", cette manifestation fut la dernière d'un genre que l'on cessa bientôt de célébrer, même si les acteurs devaient en garder un vif souvenir.
A quarante ans de distance, la violence, typique des années de guerre froide, surprend et intrigue. Par-delà les traits généraux du communisme français, l'auteur nous propose une plongée, à travers l'étude de l'événement, dans l'univers encore mal connu des "activistes" parisiens, hommes clés du PCF, adeptes dévoués jusqu'à l'aveuglement d'un stalinisme perçu et vécu comme une mystique de lutte. Pour le meilleur et pour le pire.
A quarante ans de distance, la violence, typique des années de guerre froide, surprend et intrigue. Par-delà les traits généraux du communisme français, l'auteur nous propose une plongée, à travers l'étude de l'événement, dans l'univers encore mal connu des "activistes" parisiens, hommes clés du PCF, adeptes dévoués jusqu'à l'aveuglement d'un stalinisme perçu et vécu comme une mystique de lutte. Pour le meilleur et pour le pire.