Atlas des productions céramiques en territoire des Ménapiens, Atrébates et Nerviens
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- Nombre de pages475
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.7 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-35518-133-7
- EAN9782355181337
- Date de parution29/05/2023
- CollectionArchéologie et histoire romain
- ÉditeurMergoil (Editions)
Résumé
Résultat d'un projet de recherche de l'Inrap et inscrit dans le programme quinquennal de l'équipe "Gaule et Mondes Anciens" de l'Université Paris Nanterre (Gama, UMR 7041), avec le concours du Service régional de l'archéologie des Hauts-de-France, du Service archéologique du Département du Nord et de l'Université catholique de Louvain, l'Atlas des productions céramiques synthétise les recherches menées sur les officines potières dans trois cités de la Gaule Belgique (Civitas menapiorum, nerviorum, atrebatum).
Il apparaît clairement que ce sont avant tout les territoires atrébates et nerviens qui ont joué un rôle majeur dans la fabrication des céramiques, parfois diffusées sur des centaines de kilomètres ; les officines ménapiennes ont, quant à elles, une diffusion plus réduite. Plus de quarante chercheurs, principaux intervenants de l'archéologie dans les Hauts-de-France et en Belgique, ont participé à cet ouvrage qui associe, pour la première fois à cette échelle, données de terrain (géographie, géologie et structures) et informations issues de la post-fouille (typologie, chronologie, macroscopie et pétrographie, diffusion).
Ainsi, les auteurs espèrent que cet outil de travail et de réflexion mis à la disposition des archéologues facilitera l'identification des productions, contribuant in fine à une analyse approfondie des mécanismes économiques de cette partie de l'Empire. Cet ouvrage a été coordonné par quatre chercheurs spécialisés dans des domaines complémentaires : Sonja Willems, porteuse du projet, Barbara Borgers, Anthony Ledauphin et Freddy Thuillier.
Il apparaît clairement que ce sont avant tout les territoires atrébates et nerviens qui ont joué un rôle majeur dans la fabrication des céramiques, parfois diffusées sur des centaines de kilomètres ; les officines ménapiennes ont, quant à elles, une diffusion plus réduite. Plus de quarante chercheurs, principaux intervenants de l'archéologie dans les Hauts-de-France et en Belgique, ont participé à cet ouvrage qui associe, pour la première fois à cette échelle, données de terrain (géographie, géologie et structures) et informations issues de la post-fouille (typologie, chronologie, macroscopie et pétrographie, diffusion).
Ainsi, les auteurs espèrent que cet outil de travail et de réflexion mis à la disposition des archéologues facilitera l'identification des productions, contribuant in fine à une analyse approfondie des mécanismes économiques de cette partie de l'Empire. Cet ouvrage a été coordonné par quatre chercheurs spécialisés dans des domaines complémentaires : Sonja Willems, porteuse du projet, Barbara Borgers, Anthony Ledauphin et Freddy Thuillier.
Résultat d'un projet de recherche de l'Inrap et inscrit dans le programme quinquennal de l'équipe "Gaule et Mondes Anciens" de l'Université Paris Nanterre (Gama, UMR 7041), avec le concours du Service régional de l'archéologie des Hauts-de-France, du Service archéologique du Département du Nord et de l'Université catholique de Louvain, l'Atlas des productions céramiques synthétise les recherches menées sur les officines potières dans trois cités de la Gaule Belgique (Civitas menapiorum, nerviorum, atrebatum).
Il apparaît clairement que ce sont avant tout les territoires atrébates et nerviens qui ont joué un rôle majeur dans la fabrication des céramiques, parfois diffusées sur des centaines de kilomètres ; les officines ménapiennes ont, quant à elles, une diffusion plus réduite. Plus de quarante chercheurs, principaux intervenants de l'archéologie dans les Hauts-de-France et en Belgique, ont participé à cet ouvrage qui associe, pour la première fois à cette échelle, données de terrain (géographie, géologie et structures) et informations issues de la post-fouille (typologie, chronologie, macroscopie et pétrographie, diffusion).
Ainsi, les auteurs espèrent que cet outil de travail et de réflexion mis à la disposition des archéologues facilitera l'identification des productions, contribuant in fine à une analyse approfondie des mécanismes économiques de cette partie de l'Empire. Cet ouvrage a été coordonné par quatre chercheurs spécialisés dans des domaines complémentaires : Sonja Willems, porteuse du projet, Barbara Borgers, Anthony Ledauphin et Freddy Thuillier.
Il apparaît clairement que ce sont avant tout les territoires atrébates et nerviens qui ont joué un rôle majeur dans la fabrication des céramiques, parfois diffusées sur des centaines de kilomètres ; les officines ménapiennes ont, quant à elles, une diffusion plus réduite. Plus de quarante chercheurs, principaux intervenants de l'archéologie dans les Hauts-de-France et en Belgique, ont participé à cet ouvrage qui associe, pour la première fois à cette échelle, données de terrain (géographie, géologie et structures) et informations issues de la post-fouille (typologie, chronologie, macroscopie et pétrographie, diffusion).
Ainsi, les auteurs espèrent que cet outil de travail et de réflexion mis à la disposition des archéologues facilitera l'identification des productions, contribuant in fine à une analyse approfondie des mécanismes économiques de cette partie de l'Empire. Cet ouvrage a été coordonné par quatre chercheurs spécialisés dans des domaines complémentaires : Sonja Willems, porteuse du projet, Barbara Borgers, Anthony Ledauphin et Freddy Thuillier.