Atelier A. Rencontre de l'art et de l'objet

Par : Françoise Jollant-Kneebone, Chloé Braunstein

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages192
  • PrésentationRelié
  • Poids1.4 kg
  • Dimensions23,6 cm × 31,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-909283-81-X
  • EAN9782909283814
  • Date de parution16/09/2003
  • ÉditeurNorma éditions

Résumé

Créé par l'artiste François Arnal en 1969, l'Atelier A a disparu en 1975. Cette aventure, qui n'aura duré que six ans, est unique et romanesque, fulgurante et rétive, menée dans l'enthousiasme et l'improvisation, en marge et au coeur d'une époque charnière. Comme le dit François Arnal aujourd'hui : "Je crois que l'idée de l'Atelier A est le fruit à la fois d'une longue maturation dans mon travail d'artiste et du coup de tonnerre de Mai 68".
Les acteurs, artistes et designers qui ont participé à l'aventure de l'Atelier A et dont la liste est longue et prestigieuse n'ont jamais témoigné, et les médias si prompts à s'emparer du sujet, comme le montrent les abondantes revues de presse de l'époque, s'en sont détournés du jour au lendemain. François Arnal a été lui-même le plus obstiné à occulter ce creuset de recherches, ce laboratoire des transversalités si prisées aujourd'hui, qui a permis, à la suite de Marcel Duchamp et après les expérimentations du début des années 60, de postuler et de mettre en pratique le décloisonnement de l'art, et d'affirmer l'artiste comme acteur social à part entière.
Créé par l'artiste François Arnal en 1969, l'Atelier A a disparu en 1975. Cette aventure, qui n'aura duré que six ans, est unique et romanesque, fulgurante et rétive, menée dans l'enthousiasme et l'improvisation, en marge et au coeur d'une époque charnière. Comme le dit François Arnal aujourd'hui : "Je crois que l'idée de l'Atelier A est le fruit à la fois d'une longue maturation dans mon travail d'artiste et du coup de tonnerre de Mai 68".
Les acteurs, artistes et designers qui ont participé à l'aventure de l'Atelier A et dont la liste est longue et prestigieuse n'ont jamais témoigné, et les médias si prompts à s'emparer du sujet, comme le montrent les abondantes revues de presse de l'époque, s'en sont détournés du jour au lendemain. François Arnal a été lui-même le plus obstiné à occulter ce creuset de recherches, ce laboratoire des transversalités si prisées aujourd'hui, qui a permis, à la suite de Marcel Duchamp et après les expérimentations du début des années 60, de postuler et de mettre en pratique le décloisonnement de l'art, et d'affirmer l'artiste comme acteur social à part entière.