Arthur dans le Roman de Brut

Par : Robert Wace
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  • Nombre de pages189
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-252-03401-7
  • EAN9782252034019
  • Date de parution01/09/2002
  • CollectionTextes
  • ÉditeurKlincksieck

Résumé

Le Roman de Brut est l'adaptation en vers français par un clerc normand nommé Wace de l'Historia (1137) de Geoffroi de Monmouth. Il présente un tableau complet de l'histoire de Bretagne, à partir du siège de Troie jusqu'à la fin du vue siècle, et cite les noms (historiques ou fantaisistes) de la plupart des rois qui ont régné pendant cette longue période. Malgré cette énumération, l'intérêt est sauvegardé grâce à l'habitude qu'avait Wace, suivant en cela Geoffroi, de développer certaines parties à des intervalles soigneusement choisis.
Ainsi quatre mille vers sur les quinze mille que compte le roman sont consacrés à la partie arthurienne donnée ici. L'essentiel consiste en un portrait du roi Arthur le dépeignant comme le roi idéal, égal de Charlemagne et d'Alexandre. Ce caractère donné par Geoffroi et Wace à Arthur a survécu bien au-delà du XIIe siècle et a pénétré aux siècles suivants non seulement dans les textes littéraires de différents pays, mais même dans l'organisation de la vie sociale des pays scandinaves.
Le Roman de Brut est l'adaptation en vers français par un clerc normand nommé Wace de l'Historia (1137) de Geoffroi de Monmouth. Il présente un tableau complet de l'histoire de Bretagne, à partir du siège de Troie jusqu'à la fin du vue siècle, et cite les noms (historiques ou fantaisistes) de la plupart des rois qui ont régné pendant cette longue période. Malgré cette énumération, l'intérêt est sauvegardé grâce à l'habitude qu'avait Wace, suivant en cela Geoffroi, de développer certaines parties à des intervalles soigneusement choisis.
Ainsi quatre mille vers sur les quinze mille que compte le roman sont consacrés à la partie arthurienne donnée ici. L'essentiel consiste en un portrait du roi Arthur le dépeignant comme le roi idéal, égal de Charlemagne et d'Alexandre. Ce caractère donné par Geoffroi et Wace à Arthur a survécu bien au-delà du XIIe siècle et a pénétré aux siècles suivants non seulement dans les textes littéraires de différents pays, mais même dans l'organisation de la vie sociale des pays scandinaves.