Anne Catherine, une photographe en pays de Redon
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.204 kg
- Dimensions14,0 cm × 16,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-84975-485-6
- EAN9782849754856
- Date de parution17/08/2017
- CollectionLes collections photographique
- ÉditeurFage Editions
- PréfacierLaurence Prod'homme
Résumé
Femme photographe installée en studio à Redon, Anne Catherine (1874-1958) exerce son activité en continu de 1910 à 1927. Ses photographies, pour l'essentiel une production de studio et des déplacements ponctuels hors de Redon, immortalisent des cérémonies de passage : communions, conscription, mariages. Elles révèlent l'évolution franche en quelques années des sociétés rurale et urbaine de la région de ce début du 20e siècle.
La Grande Guerre marque une vraie rupture : photographies de familles en tenues traditionnelles avant 1914, de femmes et d'enfants seuls entre 1914 et 1918, de soldats en permission ou en soins, de mariages nombreux après-guerre, mais également de veuves et de mutilés. Cette production signale aussi la standardisation, via l'urbanisation, des modes de vie, de l'habillement, des postures... La plus grande part de la production d'Anne Catherine - près de 14 000 négatifs sur plaques de verre sur les 15 200 parvenus jusqu'à nous - a été acquise par le musée de Bretagne en 1978.
Conservée, étudiée minutieusement grâce à des recherches en archives et une collecte de mémoire orale, cette collection permet de saisir un moment de mutation rapide de la société dans cette région de Haute-Bretagne.
La Grande Guerre marque une vraie rupture : photographies de familles en tenues traditionnelles avant 1914, de femmes et d'enfants seuls entre 1914 et 1918, de soldats en permission ou en soins, de mariages nombreux après-guerre, mais également de veuves et de mutilés. Cette production signale aussi la standardisation, via l'urbanisation, des modes de vie, de l'habillement, des postures... La plus grande part de la production d'Anne Catherine - près de 14 000 négatifs sur plaques de verre sur les 15 200 parvenus jusqu'à nous - a été acquise par le musée de Bretagne en 1978.
Conservée, étudiée minutieusement grâce à des recherches en archives et une collecte de mémoire orale, cette collection permet de saisir un moment de mutation rapide de la société dans cette région de Haute-Bretagne.
Femme photographe installée en studio à Redon, Anne Catherine (1874-1958) exerce son activité en continu de 1910 à 1927. Ses photographies, pour l'essentiel une production de studio et des déplacements ponctuels hors de Redon, immortalisent des cérémonies de passage : communions, conscription, mariages. Elles révèlent l'évolution franche en quelques années des sociétés rurale et urbaine de la région de ce début du 20e siècle.
La Grande Guerre marque une vraie rupture : photographies de familles en tenues traditionnelles avant 1914, de femmes et d'enfants seuls entre 1914 et 1918, de soldats en permission ou en soins, de mariages nombreux après-guerre, mais également de veuves et de mutilés. Cette production signale aussi la standardisation, via l'urbanisation, des modes de vie, de l'habillement, des postures... La plus grande part de la production d'Anne Catherine - près de 14 000 négatifs sur plaques de verre sur les 15 200 parvenus jusqu'à nous - a été acquise par le musée de Bretagne en 1978.
Conservée, étudiée minutieusement grâce à des recherches en archives et une collecte de mémoire orale, cette collection permet de saisir un moment de mutation rapide de la société dans cette région de Haute-Bretagne.
La Grande Guerre marque une vraie rupture : photographies de familles en tenues traditionnelles avant 1914, de femmes et d'enfants seuls entre 1914 et 1918, de soldats en permission ou en soins, de mariages nombreux après-guerre, mais également de veuves et de mutilés. Cette production signale aussi la standardisation, via l'urbanisation, des modes de vie, de l'habillement, des postures... La plus grande part de la production d'Anne Catherine - près de 14 000 négatifs sur plaques de verre sur les 15 200 parvenus jusqu'à nous - a été acquise par le musée de Bretagne en 1978.
Conservée, étudiée minutieusement grâce à des recherches en archives et une collecte de mémoire orale, cette collection permet de saisir un moment de mutation rapide de la société dans cette région de Haute-Bretagne.