Anabase ou Retraite des Dix Mille

Par : Xénophon

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    • Nombre de pages265
    • PrésentationRelié
    • FormatGrand Format
    • Poids0.32 kg
    • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
    • ISBN978-2-84909-608-6
    • EAN9782849096086
    • Date de parution01/03/2011
    • CollectionSources histoire européenne
    • ÉditeurPaléo
    • ContributeurY Germain
    • TraducteurE. Talbot

    Résumé

    La terre, en ce pays d'Arabie, est une vaste plaine, unie comme une mer et pleine d'absinthe. Tout ce qu'il y croît de plantes ou de roseaux est aromatique, mais il n'y a pas d'ombres. Les animaux sont de nombreux ânes sauvages, et beaucoup d'autruches fort grandes, des outardes, des gazelles. Les cavaliers poursuivaient parfois ces animaux. Les ânes, quand on les poursuivait, gagnaient de vitesse et s'arrêtaient ; car ils couraient beaucoup plus vite que le cheval ; puis, quand le cheval approchait, ils recommençaient le même manège, en sorte qu'on ne pouvait les prendre.
    Personne ne prit d'autruche. Ceux des cavaliers qui en poursuivirent, y renoncèrent bientôt : l'oiseau se dérobait par la fuite, en courant à toutes jambes, en élevant ses ailes dont il usait comme d'une voile. Quant aux outardes, en les faisant lever promptement, il est facile de les prendre : elles ont le vol court, comme les perdrix, et sont bientôt rendues : leur chair était délicieuse.
    La terre, en ce pays d'Arabie, est une vaste plaine, unie comme une mer et pleine d'absinthe. Tout ce qu'il y croît de plantes ou de roseaux est aromatique, mais il n'y a pas d'ombres. Les animaux sont de nombreux ânes sauvages, et beaucoup d'autruches fort grandes, des outardes, des gazelles. Les cavaliers poursuivaient parfois ces animaux. Les ânes, quand on les poursuivait, gagnaient de vitesse et s'arrêtaient ; car ils couraient beaucoup plus vite que le cheval ; puis, quand le cheval approchait, ils recommençaient le même manège, en sorte qu'on ne pouvait les prendre.
    Personne ne prit d'autruche. Ceux des cavaliers qui en poursuivirent, y renoncèrent bientôt : l'oiseau se dérobait par la fuite, en courant à toutes jambes, en élevant ses ailes dont il usait comme d'une voile. Quant aux outardes, en les faisant lever promptement, il est facile de les prendre : elles ont le vol court, comme les perdrix, et sont bientôt rendues : leur chair était délicieuse.
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