Alger, avril 1961. La mort d'une armée
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- Nombre de pages311
- PrésentationBroché
- Poids0.61 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN2-9513552-1-1
- EAN9782951355217
- Date de parution29/06/2000
- ÉditeurMaestrati (olivier)
Résumé
L'armée française est-elle morte en Algérie ? Certainement pas.
Y a-t-elle perdu une partie de son âme ?
Vraisemblablement. L'ouvrage tend à le démontrer.
La guerre d'Algérie, dernier grand conflit auquel eurent à participer les soldats français, a infléchi l'histoire de ce corps d'Etat. Les concepts politiques, dissociés théoriquement du cadre militaire, interviennent de plain-pied dans la lutte contre-révolutionnaire que mènent les officiers depuis la guerre d'Indochine.
Les cadres des unités combattantes, surtout parachutistes et légionnaires, s'immiscent dans la vie politique et publique de la nation au point d'être à l'origine de la création d'une république en mai 1958 et de vouloir en renverser son président en avril 1961.
L'auteur dénoue les fils d'un long écheveau qui aboutit à ce " coup de cœur " qu'eux-mêmes qualifiaient " d'apolitique ".
Plusieurs années de recherches, des archives inédites, et de longs entretiens avec les acteurs de l'époque tels que le général Brothier, les colonels Argoud, Broizat, Ceccaldi, Lecomte, les commandants Robin et Saint Marc, nourrissent l'analyse de cette période tragique.
L'armée française est-elle morte en Algérie ? Certainement pas.
Y a-t-elle perdu une partie de son âme ?
Vraisemblablement. L'ouvrage tend à le démontrer.
La guerre d'Algérie, dernier grand conflit auquel eurent à participer les soldats français, a infléchi l'histoire de ce corps d'Etat. Les concepts politiques, dissociés théoriquement du cadre militaire, interviennent de plain-pied dans la lutte contre-révolutionnaire que mènent les officiers depuis la guerre d'Indochine.
Les cadres des unités combattantes, surtout parachutistes et légionnaires, s'immiscent dans la vie politique et publique de la nation au point d'être à l'origine de la création d'une république en mai 1958 et de vouloir en renverser son président en avril 1961.
L'auteur dénoue les fils d'un long écheveau qui aboutit à ce " coup de cœur " qu'eux-mêmes qualifiaient " d'apolitique ".
Plusieurs années de recherches, des archives inédites, et de longs entretiens avec les acteurs de l'époque tels que le général Brothier, les colonels Argoud, Broizat, Ceccaldi, Lecomte, les commandants Robin et Saint Marc, nourrissent l'analyse de cette période tragique.