Aimé Pallière (1868-1949). Un chrétien dans le judaïsme

Par : Catherine Poujol

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages418
  • PrésentationBroché
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions12,5 cm × 20,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-220-05316-4
  • EAN9782220053165
  • Date de parution16/09/2003
  • Collectionmidrash
  • ÉditeurDDB

Résumé

La biographie d'Aimé Pallière permet de peindre la fresque des relations judéo-chrétiennes en France pendant un siècle : 1850-1950 - et apporte par là même une contribution majeure à ce dialogue. Catholique moderniste et dreyfusard, Pallière œuvre dans le judaïsme sans jamais se convertir. Il est convaincu que le " noachisme ", selon l'enseignement du rabbin kabbaliste Elie Benamozegh (1822-1900), est la religion de l'avenir : les Juifs en seront les prêtres et les laïcs des autres monothéismes, les fidèles. Pour ce faire, il se donne comme mission de faire redécouvrir leur religion aux israélites français afin de reconstituer le peuple hébreu. Il réforme le judaïsme en participant à la création de l'Union libérale israélite et devient même prédicateur à la synagogue de la rue Copernic, à Paris. Le sionisme faisant, selon lui, partie du " judaïsme intégral ", il tente de rendre sionistes les jeunes Juifs de France et du monde entier en dirigeant, de 1926 à 1935, l'Union universelle de la jeunesse juive (UUJJ). Le peuple hébreu reconstitué, il faut acheter sa terre et, dans ce but, il dirige aux mêmes dates le Fonds national juif (KKL). Cette action s'accompagne d'un tissu de relations avec les rabbins et les religieux catholiques et protestants, Pallière servant de pont entre ces confessions en Europe comme aux Etats-Unis. Cet ouvrage révèle à quel point le dialogue entre les religions était engagé avant que la Shoah ne vienne tout dévaster.
La biographie d'Aimé Pallière permet de peindre la fresque des relations judéo-chrétiennes en France pendant un siècle : 1850-1950 - et apporte par là même une contribution majeure à ce dialogue. Catholique moderniste et dreyfusard, Pallière œuvre dans le judaïsme sans jamais se convertir. Il est convaincu que le " noachisme ", selon l'enseignement du rabbin kabbaliste Elie Benamozegh (1822-1900), est la religion de l'avenir : les Juifs en seront les prêtres et les laïcs des autres monothéismes, les fidèles. Pour ce faire, il se donne comme mission de faire redécouvrir leur religion aux israélites français afin de reconstituer le peuple hébreu. Il réforme le judaïsme en participant à la création de l'Union libérale israélite et devient même prédicateur à la synagogue de la rue Copernic, à Paris. Le sionisme faisant, selon lui, partie du " judaïsme intégral ", il tente de rendre sionistes les jeunes Juifs de France et du monde entier en dirigeant, de 1926 à 1935, l'Union universelle de la jeunesse juive (UUJJ). Le peuple hébreu reconstitué, il faut acheter sa terre et, dans ce but, il dirige aux mêmes dates le Fonds national juif (KKL). Cette action s'accompagne d'un tissu de relations avec les rabbins et les religieux catholiques et protestants, Pallière servant de pont entre ces confessions en Europe comme aux Etats-Unis. Cet ouvrage révèle à quel point le dialogue entre les religions était engagé avant que la Shoah ne vienne tout dévaster.
Le Kazakhstan
Catherine Poujol
E-book
7,99 €
Le Kazakhstan
Catherine Poujol
E-book
7,99 €
Le Kazakhstan
Catherine Poujol
Poche
10,00 €