Ah ! Si j'étais riche et mort

Par : Maxim Biller
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-08-066522-7
  • EAN9782080665225
  • Date de parution01/12/1992
  • CollectionFiction étrangère
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

"Je suis votre esprit voyeur, votre dybbouk, un zombie ashkénaze ! Le savon parlant à base de graisse humaine ! " annonce Warszawski, alias Biller, le narrateur d'Harlem-Holocaust. Dans L'Epoque Frenkel, Yakov, le Iacocca de Lerchesberg, se présente comme "Mottke, le ganeff, le voleur, pin-pan". Au nombre de treize (chiffre aux résonances bibliques), ces protagonistes, tous membres de la diaspora juive, connaissent des destins tragi-comiques.
Ah ! Si j'étais riche et mort, citation détournée du Violon sur le toit, est à la fois drôle et triste, tendre et agressif. L'humour juif, quintessence de la contrition, y est porté son apogée. En écrivant un modèle d'autodérision, Biller s'inscrit dans la lignée des Saul Bellow et des Philip Roth. Son style cru, sa phrase incisive, son ironie masochiste, le placent au premier rang de la littérature contemporaine.
Sur la distance courte, il surpasse les maximes de Woody Allen.
"Je suis votre esprit voyeur, votre dybbouk, un zombie ashkénaze ! Le savon parlant à base de graisse humaine ! " annonce Warszawski, alias Biller, le narrateur d'Harlem-Holocaust. Dans L'Epoque Frenkel, Yakov, le Iacocca de Lerchesberg, se présente comme "Mottke, le ganeff, le voleur, pin-pan". Au nombre de treize (chiffre aux résonances bibliques), ces protagonistes, tous membres de la diaspora juive, connaissent des destins tragi-comiques.
Ah ! Si j'étais riche et mort, citation détournée du Violon sur le toit, est à la fois drôle et triste, tendre et agressif. L'humour juif, quintessence de la contrition, y est porté son apogée. En écrivant un modèle d'autodérision, Biller s'inscrit dans la lignée des Saul Bellow et des Philip Roth. Son style cru, sa phrase incisive, son ironie masochiste, le placent au premier rang de la littérature contemporaine.
Sur la distance courte, il surpasse les maximes de Woody Allen.
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