A chacun de ses nouveaux romans, je me demande où la fantaisie de Clémentine Beauvais va bien pouvoir m’entraîner.
Celui-ci ne déroge pas à la règle.
D’abord le thème, la rencontre de deux univers diamétralement opposés, celui d’un adolescent mal dans sa peau qui fait un service civil dans... une maison de retraite.
La construction du roman ensuite, qui s’articule autour d’un journal de stage, et de l’analyse a posteriori que Valentin fait de celui-ci.
Enfin, les personnages, singuliers, tourmentés ou drôles mais toujours attachants, qui apportent le sel de l’histoire, en témoignent quelques passages de (non)dialogues totalement hilarants entre certains pensionnaires...
Valentin est un garçon introverti, peu sûr de lui, d’une extrême sensibilité, qui découvre bien malgré lui l’univers du troisième, voir du quatrième âge, des vies accomplies ou non, qui sont sur le déclin.
Son empathie, son implication, sa tendresse sont un souffle d’air frais pour tous les pensionnaires ainsi que pour l’ensemble du personnel du centre.
Il en ressort nostalgique, mais grandi et mûri au-delà de toutes ses espérances.
Clémentine Beauvais est une artiste, une vraie.
A chacun de ses nouveaux romans, je me demande où la fantaisie de Clémentine Beauvais va bien pouvoir m’entraîner.
Celui-ci ne déroge pas à la règle.
D’abord le thème, la rencontre de deux univers diamétralement opposés, celui d’un adolescent mal dans sa peau qui fait un service civil dans... une maison de retraite.
La construction du roman ensuite, qui s’articule autour d’un journal de stage, et de l’analyse a posteriori que Valentin fait de celui-ci.
Enfin, les personnages, singuliers, tourmentés ou drôles mais toujours attachants, qui apportent le sel de l’histoire, en témoignent quelques passages de (non)dialogues totalement hilarants entre certains pensionnaires...
Valentin est un garçon introverti, peu sûr de lui, d’une extrême sensibilité, qui découvre bien malgré lui l’univers du troisième, voir du quatrième âge, des vies accomplies ou non, qui sont sur le déclin.
Son empathie, son implication, sa tendresse sont un souffle d’air frais pour tous les pensionnaires ainsi que pour l’ensemble du personnel du centre.
Il en ressort nostalgique, mais grandi et mûri au-delà de toutes ses espérances.
Clémentine Beauvais est une artiste, une vraie.