Africa on my mind. Histoire sociale de l'afrocentrisme aux Etats-Unis
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- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- Poids0.659 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-84654-358-3
- EAN9782846543583
- Date de parution14/01/2016
- CollectionRivages des Xantons
- ÉditeurIndes savantes (Les)
Résumé
Africa on MyMind propose une plongée en afrocentrisme. Le terme afrocentrisme désigne une idée, des pratiques et des courants de pensée destinés à observer le monde d'un point de vue dit "africain". Aux Etats-Unis, il s'est diffusé dans les années 1990 avec l'apparition d'afrocentrismes universitaires menés par trois historiens : Molefi Asante, Maulana Karenga et Leonard Jeffries. Il a alors généré des concepts et des usages sociaux et culturels dont beaucoup ignorent aujourd'hui les origines.
Des enseignements sur l'histoire, de l'Egypte antique à Kwanzaa, le "Noël noir", à la vente de poupées Barbie ghanéennes, en passant par les rites de passage, l'afrocentrisme s'est progressivement transformé en afrocentrismes et a pénétré le quotidien des Africains-Américains pour y incarner leur héritage africain. Par cette étude pluridisciplinaire, Sarah Fila-Bakabadio effectue une exploration inédite de milieux traditionnellement difficile d'accès.
Elle en propose une généalogie et souligne les liens étroits entre les histoires africaine et afro-américaine qui, des nationalismes afro-américains aux indépendances africaines, interagissent dans des espaces désormais nommés Atlantique noir ou diaspora africaine. Cette étude offre une vision originale d'un phénomène finalement mal connu au-delà des débats parfois polémiques qu'il suscite. Elle est un parcours qui, des églises de Washington aux ghettos de New York, interroge les constructions identitaires, les mémoires, les imaginaires d'Afrique.
Des enseignements sur l'histoire, de l'Egypte antique à Kwanzaa, le "Noël noir", à la vente de poupées Barbie ghanéennes, en passant par les rites de passage, l'afrocentrisme s'est progressivement transformé en afrocentrismes et a pénétré le quotidien des Africains-Américains pour y incarner leur héritage africain. Par cette étude pluridisciplinaire, Sarah Fila-Bakabadio effectue une exploration inédite de milieux traditionnellement difficile d'accès.
Elle en propose une généalogie et souligne les liens étroits entre les histoires africaine et afro-américaine qui, des nationalismes afro-américains aux indépendances africaines, interagissent dans des espaces désormais nommés Atlantique noir ou diaspora africaine. Cette étude offre une vision originale d'un phénomène finalement mal connu au-delà des débats parfois polémiques qu'il suscite. Elle est un parcours qui, des églises de Washington aux ghettos de New York, interroge les constructions identitaires, les mémoires, les imaginaires d'Afrique.
Africa on MyMind propose une plongée en afrocentrisme. Le terme afrocentrisme désigne une idée, des pratiques et des courants de pensée destinés à observer le monde d'un point de vue dit "africain". Aux Etats-Unis, il s'est diffusé dans les années 1990 avec l'apparition d'afrocentrismes universitaires menés par trois historiens : Molefi Asante, Maulana Karenga et Leonard Jeffries. Il a alors généré des concepts et des usages sociaux et culturels dont beaucoup ignorent aujourd'hui les origines.
Des enseignements sur l'histoire, de l'Egypte antique à Kwanzaa, le "Noël noir", à la vente de poupées Barbie ghanéennes, en passant par les rites de passage, l'afrocentrisme s'est progressivement transformé en afrocentrismes et a pénétré le quotidien des Africains-Américains pour y incarner leur héritage africain. Par cette étude pluridisciplinaire, Sarah Fila-Bakabadio effectue une exploration inédite de milieux traditionnellement difficile d'accès.
Elle en propose une généalogie et souligne les liens étroits entre les histoires africaine et afro-américaine qui, des nationalismes afro-américains aux indépendances africaines, interagissent dans des espaces désormais nommés Atlantique noir ou diaspora africaine. Cette étude offre une vision originale d'un phénomène finalement mal connu au-delà des débats parfois polémiques qu'il suscite. Elle est un parcours qui, des églises de Washington aux ghettos de New York, interroge les constructions identitaires, les mémoires, les imaginaires d'Afrique.
Des enseignements sur l'histoire, de l'Egypte antique à Kwanzaa, le "Noël noir", à la vente de poupées Barbie ghanéennes, en passant par les rites de passage, l'afrocentrisme s'est progressivement transformé en afrocentrismes et a pénétré le quotidien des Africains-Américains pour y incarner leur héritage africain. Par cette étude pluridisciplinaire, Sarah Fila-Bakabadio effectue une exploration inédite de milieux traditionnellement difficile d'accès.
Elle en propose une généalogie et souligne les liens étroits entre les histoires africaine et afro-américaine qui, des nationalismes afro-américains aux indépendances africaines, interagissent dans des espaces désormais nommés Atlantique noir ou diaspora africaine. Cette étude offre une vision originale d'un phénomène finalement mal connu au-delà des débats parfois polémiques qu'il suscite. Elle est un parcours qui, des églises de Washington aux ghettos de New York, interroge les constructions identitaires, les mémoires, les imaginaires d'Afrique.