Affinités non électives. A propos du livre d'Olivier Besancenot et Michaël Löwy : pour un dialogue sans langue de bois entre libertaires et marxistes

Par : René Berthier

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  • Nombre de pages275
  • PrésentationBroché
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-919568-62-8
  • EAN9782919568628
  • Date de parution01/12/2015
  • ÉditeurLibertaires (Les Editions)

Résumé

Les opinions peut-être parfois sévères émises dans le présent ouvrage contre Affinités électives, le livre d'Olivier Besancenot et de Michaël Löwy, ne doivent pas évacuer le constat que leur livre ouvre peut-être un débat nécessaire, non pas tant avec une ou des organisations marxistes, mais avec des camarades de lutte qui sont, qu'on le veuille ou non, nos cousins germains dans le mouvement ouvrier.
Dans la situation présente, c'est peu dire que les cousins ont intérêt à débattre pour voir ce qu'ils peuvent faire ensemble. Une société libertaire est une société fonctionnant de manière libertaire, non une société peuplée exclusivement de libertaires "pur jus". Il vaut mieux allumer une seule et minuscule bougie que de maudire sans fin l'obscurité. Il reste que si un jour un débat de fond, sans langue de bois, devait s'engager entre marxistes et libertaires, il ne saurait être question de s'entendre dire : "Kronstadt ? Ah, oui, c'était une erreur..."
Les opinions peut-être parfois sévères émises dans le présent ouvrage contre Affinités électives, le livre d'Olivier Besancenot et de Michaël Löwy, ne doivent pas évacuer le constat que leur livre ouvre peut-être un débat nécessaire, non pas tant avec une ou des organisations marxistes, mais avec des camarades de lutte qui sont, qu'on le veuille ou non, nos cousins germains dans le mouvement ouvrier.
Dans la situation présente, c'est peu dire que les cousins ont intérêt à débattre pour voir ce qu'ils peuvent faire ensemble. Une société libertaire est une société fonctionnant de manière libertaire, non une société peuplée exclusivement de libertaires "pur jus". Il vaut mieux allumer une seule et minuscule bougie que de maudire sans fin l'obscurité. Il reste que si un jour un débat de fond, sans langue de bois, devait s'engager entre marxistes et libertaires, il ne saurait être question de s'entendre dire : "Kronstadt ? Ah, oui, c'était une erreur..."