Adélie, mon amour
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- Nombre de pages370
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.54 kg
- Dimensions15,4 cm × 23,7 cm × 3,1 cm
- ISBN978-2-7499-3468-6
- EAN9782749934686
- Date de parution15/03/2018
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
Une ligne. Une ligne plus sombre. Une ligne au-dessus de la banquise comme un trait de pinceau sur une aquarelle. Elle se précise maintenant, vaste, large, occupant tout mon champ de vision, barre l'horizon. Elle grandit. C'est une frange de teinte parme bien délimitée qui sépare la mer où nous voguons du ciel où nagent les nuages... Janvier 1840. Après deux ans et demi de périple dans les mers du Sud, Jules Dumont d'Urville découvre la terre Adélie.
Pour la première fois, des hommes foulent le sol de l'Antarctique et apportent la preuve qu'il s'agit d'un continent. Sur le pont de la corvette L'Astrolabe, dans le vent glacial, entouré d'icebergs, Dumont d'Urville pense à sa femme Adèle et, dans un geste romantique, choisit de donner son prénom à cette nouvelle terre, une des dernières encore inconnues de la planète. Janvier 2017. Dans le sillage de cette histoire d'amour, le journaliste Michel Izard embarque sur le brise-glace L'Astrolabe qui prend la même route, arrive exactement au même endroit pour ravitailler la base française en Antarctique, la station Dumont-d'Urville, où se côtoient marins, boulangers, mécaniciens et chercheurs du bout du monde.
Adélie, mon amour : deux récits parallèles qui çà et là s'entrecroisent. L'exploit des voiliers de 1840 guidés par la seule intuition de leur capitaine et le voyage présent du navire polaire qui, 177 ans plus tard, demeure une expédition à l'assaut de la banquise.
Pour la première fois, des hommes foulent le sol de l'Antarctique et apportent la preuve qu'il s'agit d'un continent. Sur le pont de la corvette L'Astrolabe, dans le vent glacial, entouré d'icebergs, Dumont d'Urville pense à sa femme Adèle et, dans un geste romantique, choisit de donner son prénom à cette nouvelle terre, une des dernières encore inconnues de la planète. Janvier 2017. Dans le sillage de cette histoire d'amour, le journaliste Michel Izard embarque sur le brise-glace L'Astrolabe qui prend la même route, arrive exactement au même endroit pour ravitailler la base française en Antarctique, la station Dumont-d'Urville, où se côtoient marins, boulangers, mécaniciens et chercheurs du bout du monde.
Adélie, mon amour : deux récits parallèles qui çà et là s'entrecroisent. L'exploit des voiliers de 1840 guidés par la seule intuition de leur capitaine et le voyage présent du navire polaire qui, 177 ans plus tard, demeure une expédition à l'assaut de la banquise.
Une ligne. Une ligne plus sombre. Une ligne au-dessus de la banquise comme un trait de pinceau sur une aquarelle. Elle se précise maintenant, vaste, large, occupant tout mon champ de vision, barre l'horizon. Elle grandit. C'est une frange de teinte parme bien délimitée qui sépare la mer où nous voguons du ciel où nagent les nuages... Janvier 1840. Après deux ans et demi de périple dans les mers du Sud, Jules Dumont d'Urville découvre la terre Adélie.
Pour la première fois, des hommes foulent le sol de l'Antarctique et apportent la preuve qu'il s'agit d'un continent. Sur le pont de la corvette L'Astrolabe, dans le vent glacial, entouré d'icebergs, Dumont d'Urville pense à sa femme Adèle et, dans un geste romantique, choisit de donner son prénom à cette nouvelle terre, une des dernières encore inconnues de la planète. Janvier 2017. Dans le sillage de cette histoire d'amour, le journaliste Michel Izard embarque sur le brise-glace L'Astrolabe qui prend la même route, arrive exactement au même endroit pour ravitailler la base française en Antarctique, la station Dumont-d'Urville, où se côtoient marins, boulangers, mécaniciens et chercheurs du bout du monde.
Adélie, mon amour : deux récits parallèles qui çà et là s'entrecroisent. L'exploit des voiliers de 1840 guidés par la seule intuition de leur capitaine et le voyage présent du navire polaire qui, 177 ans plus tard, demeure une expédition à l'assaut de la banquise.
Pour la première fois, des hommes foulent le sol de l'Antarctique et apportent la preuve qu'il s'agit d'un continent. Sur le pont de la corvette L'Astrolabe, dans le vent glacial, entouré d'icebergs, Dumont d'Urville pense à sa femme Adèle et, dans un geste romantique, choisit de donner son prénom à cette nouvelle terre, une des dernières encore inconnues de la planète. Janvier 2017. Dans le sillage de cette histoire d'amour, le journaliste Michel Izard embarque sur le brise-glace L'Astrolabe qui prend la même route, arrive exactement au même endroit pour ravitailler la base française en Antarctique, la station Dumont-d'Urville, où se côtoient marins, boulangers, mécaniciens et chercheurs du bout du monde.
Adélie, mon amour : deux récits parallèles qui çà et là s'entrecroisent. L'exploit des voiliers de 1840 guidés par la seule intuition de leur capitaine et le voyage présent du navire polaire qui, 177 ans plus tard, demeure une expédition à l'assaut de la banquise.