Retour dans les seventies pour cette chronique adolescente douce amère, qui possède le charme de tous les livres de Pascal Ruter.
Parce qu’il y a chaque fois une atmosphère qui ne tient qu’à lui, à son écriture, à sa vision des choses .
Sa sensibilité et sa fantaisie, on les retrouve dans chaque personnage, les fragiles, les hésitants, les paumés, les-mal- dégrossis, ou les révoltés, des gens que l’on rencontre tous les jours en somme, mais dont il ressort toujours une empathie ou une tendresse particulières qui donnent le sourire.
Solweig, Valentin, et tous les autres ne font pas exception à la règle, ils nous offrent une tranche de leurs vies incertaines, désenchantées, mais cependant pleines de promesses, qui nous renvoient à nos dix-sept ans, nos envies, nos fous rires, et ça évidemment, ça n’a pas de prix…
Retour dans les seventies pour cette chronique adolescente douce amère, qui possède le charme de tous les livres de Pascal Ruter.
Parce qu’il y a chaque fois une atmosphère qui ne tient qu’à lui, à son écriture, à sa vision des choses .
Sa sensibilité et sa fantaisie, on les retrouve dans chaque personnage, les fragiles, les hésitants, les paumés, les-mal- dégrossis, ou les révoltés, des gens que l’on rencontre tous les jours en somme, mais dont il ressort toujours une empathie ou une tendresse particulières qui donnent le sourire.
Solweig, Valentin, et tous les autres ne font pas exception à la règle, ils nous offrent une tranche de leurs vies incertaines, désenchantées, mais cependant pleines de promesses, qui nous renvoient à nos dix-sept ans, nos envies, nos fous rires, et ça évidemment, ça n’a pas de prix…