A mon cher cousin.... Une femme en Bretagne à la fin du XVIIIe siècle

Par : De Pompery, Marie-Claire Le Moigne- Mussat, Michel Maréchal

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  • Nombre de pages577
  • PrésentationBroché
  • Poids0.995 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-911468-58-2
  • EAN9782911468582
  • Date de parution13/03/2008
  • ÉditeurEditions du Layeur

Résumé

Une nouvelle Madame de Sévigné ? La comparaison est flatteuse et le lecteur aura tout loisir, au fil des pages, d'apprécier si l'image est fondée. Mais les lettres de Madame de Pompery sont tout autre chose qu'un exercice de style. Le tableau qu'elle dresse de la vie quotidienne en Basse Bretagne à la fin du XVIIIe siècle est riche d'informations. La personnalité de leur auteur fascinante. Epouse, maîtresse de maison, mère, préceptrice, elle est tout à la fois sans jamais abdiquer sa féminité. Sensible, tendre, énergique, cultivée, telle elle apparaît. Une femme de devoir, certes, mais moteur du couple. Une femme libre d'aller et venir, libre de recevoir autour de son piano-forte les meilleurs musiciens, fussent-ils officiers régimentaires, libre de penser et de s'exprimer comme en témoigne la spontanéité de cette correspondance, aux limites de l'échange amoureux, avec son cousin Kergus. Une femme passionnée de musique et de littérature. Pour autant, elle s'accommode de la tradition et la religion lui sert de refuge, l'âge avançant. Mais elle a cette capacité à exister non seulement pour et par sa famille mais bien par elle-même et à travers les réseaux qu'elle a constitués en Bretagne et en Soissonnais. Sans doute préfigure-t-elle en cela la femme moderne. De là, l'intérêt de ce bel ensemble de lettres pour partie inédites
Une nouvelle Madame de Sévigné ? La comparaison est flatteuse et le lecteur aura tout loisir, au fil des pages, d'apprécier si l'image est fondée. Mais les lettres de Madame de Pompery sont tout autre chose qu'un exercice de style. Le tableau qu'elle dresse de la vie quotidienne en Basse Bretagne à la fin du XVIIIe siècle est riche d'informations. La personnalité de leur auteur fascinante. Epouse, maîtresse de maison, mère, préceptrice, elle est tout à la fois sans jamais abdiquer sa féminité. Sensible, tendre, énergique, cultivée, telle elle apparaît. Une femme de devoir, certes, mais moteur du couple. Une femme libre d'aller et venir, libre de recevoir autour de son piano-forte les meilleurs musiciens, fussent-ils officiers régimentaires, libre de penser et de s'exprimer comme en témoigne la spontanéité de cette correspondance, aux limites de l'échange amoureux, avec son cousin Kergus. Une femme passionnée de musique et de littérature. Pour autant, elle s'accommode de la tradition et la religion lui sert de refuge, l'âge avançant. Mais elle a cette capacité à exister non seulement pour et par sa famille mais bien par elle-même et à travers les réseaux qu'elle a constitués en Bretagne et en Soissonnais. Sans doute préfigure-t-elle en cela la femme moderne. De là, l'intérêt de ce bel ensemble de lettres pour partie inédites