Ils s'appellent Marine, Patrice, Paul, Bemba. Ils sont vigiles, serveurs, cantiniers, jardiniers, fonctionnaires. Certains gagnent 1 200 E par mois. Mais ils dorment sur le trottoir, dans des foyers, des squats, des tentes. Ce ne sont pas des " marginaux ". Pourtant, ils n'ont pas accès à un droit fondamental : le logement. Véronique Vasseur laisse la parole à ceux qui n'ont guère l'occasion de s'exprimer et témoignent d'une réalité proche, très proche de nous.
Ils s'appellent Marine, Patrice, Paul, Bemba. Ils sont vigiles, serveurs, cantiniers, jardiniers, fonctionnaires. Certains gagnent 1 200 E par mois. Mais ils dorment sur le trottoir, dans des foyers, des squats, des tentes. Ce ne sont pas des " marginaux ". Pourtant, ils n'ont pas accès à un droit fondamental : le logement. Véronique Vasseur laisse la parole à ceux qui n'ont guère l'occasion de s'exprimer et témoignent d'une réalité proche, très proche de nous.