Stupéfiant. L'imaginaire des drogues de l'opium au LSD

Par : Emmanuelle Retaillaud-Bajac
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids1.01 kg
  • Dimensions19,0 cm × 24,9 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-84597-639-9
  • EAN9782845976399
  • Date de parution18/10/2017
  • ÉditeurTextuel

Résumé

Issues d'une collection privée hors norme, constituée au fil du temps par Aymon de Lestrange, les images de ce livre captivent le regard dans un subtil mélange de fascination et d'effroi. Gravures, affiches, publicités, partitions musicales, illustrations de presse ou couvertures de romans, produites par la culture populaire du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle, offrent un panorama exceptionnel sur l'histoire des drogues et de leur représentation vues par l'Occident.
Depuis la fascination trouble pour le Chinois opiomane, jusqu'aux volutes colorées des premières expériences psychédéliques, en passant par la séduction vénéneuse des dancings où le public interlope sniffe discrètement des "poudres folles", cette iconographie à la beauté "stupéfiante" nous dévoile les coulisses d'une étrange "usine à rêves" où la tentation se doit de demeurer purement visuelle, sous peine de franchir l'invisible frontière qui sépare les paradis artificiels de l'enfer de la toxicomanie.
Issues d'une collection privée hors norme, constituée au fil du temps par Aymon de Lestrange, les images de ce livre captivent le regard dans un subtil mélange de fascination et d'effroi. Gravures, affiches, publicités, partitions musicales, illustrations de presse ou couvertures de romans, produites par la culture populaire du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle, offrent un panorama exceptionnel sur l'histoire des drogues et de leur représentation vues par l'Occident.
Depuis la fascination trouble pour le Chinois opiomane, jusqu'aux volutes colorées des premières expériences psychédéliques, en passant par la séduction vénéneuse des dancings où le public interlope sniffe discrètement des "poudres folles", cette iconographie à la beauté "stupéfiante" nous dévoile les coulisses d'une étrange "usine à rêves" où la tentation se doit de demeurer purement visuelle, sous peine de franchir l'invisible frontière qui sépare les paradis artificiels de l'enfer de la toxicomanie.