La vie mène la danse

Par : Germaine Krull

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages446
  • PrésentationBroché
  • Poids0.615 kg
  • Dimensions16,1 cm × 21,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-84597-522-4
  • EAN9782845975224
  • Date de parution27/05/2015
  • CollectionL'écriture photographique
  • ÉditeurTextuel
  • AnnotateurFrançoise Denoyelle

Résumé

«La seule chose que m'ait apprise mon père, c'est d'être toujours libre d'entreprendre ce que l'on veut. J'ai pensé à lui chaque fois que j'ai tout abandonné pour faire autre chose. Ni les hommes, ni les pays, ni les amis, ni les conventions ne m'ont fait dévier de mon chemin, dans la vie comme en photographie.» Germaine Krull Les autobiographies de photographes sont rares. Qui plus est lorsqu'elles sont écrites par des femmes.
Née en 1897, Germaine Krull est l'une des plus remarquables photographes du XXe siècle. Rédigé peu avant sa disparition en 1985, le récit de sa vie était jusqu'à présent demeuré inédit en français. La vie mène la danse convie le lecteur à un époustouflant voyage à travers le siècle, de l'Allemagne à Bangkok, en passant par Moscou, Berlin, Paris, Rio, Brazzaville ou Saigon. Initiée à la photographie dans le Munich bourgeois de l'époque wilhelmienne, Germaine Krull choisit d'apprendre un métier pour être indépendante, vit en union libre, est confrontée à l'avortement.
Elle participe à la révolution de Novembre, est expulsée de Bavière. Déléguée à Moscou, elle est emprisonnée dans les geôles bolcheviques pour activité contre-révolutionnaire. Elle s'installe aux Pays-Bas puis à Paris où elle devient l'une des photographes d'avant-garde les plus en vue. Pendant la guerre, elle est chargée d'organiser les services photographiques de la France libre, débarque avec les Alliés en Provence et, en suivant la 1re armée française, découvre l'horreur des camps nazis.
Fin 1945, elle part en Indochine, puis ouvre un hôtel à Bangkok. Au cours de cette passionnante traversée du siècle, elle croise Lénine, rencontre le poète autrichien Rainer Maria Rilke, fréquente Walter Benjamin et Max Horkheimer, se marie avec Joris Ivens, entretient une liaison avec Eli Lotar, côtoie Sonia et Robert Delaunay, mais aussi André Malraux, Colette et le Dalaï-Lama. A travers cette épopée moderne, celle d'une photographe libre et cosmopolite, c'est aussi une page de l'histoire des femmes au XXe siècle qui s'écrit ici.
«La seule chose que m'ait apprise mon père, c'est d'être toujours libre d'entreprendre ce que l'on veut. J'ai pensé à lui chaque fois que j'ai tout abandonné pour faire autre chose. Ni les hommes, ni les pays, ni les amis, ni les conventions ne m'ont fait dévier de mon chemin, dans la vie comme en photographie.» Germaine Krull Les autobiographies de photographes sont rares. Qui plus est lorsqu'elles sont écrites par des femmes.
Née en 1897, Germaine Krull est l'une des plus remarquables photographes du XXe siècle. Rédigé peu avant sa disparition en 1985, le récit de sa vie était jusqu'à présent demeuré inédit en français. La vie mène la danse convie le lecteur à un époustouflant voyage à travers le siècle, de l'Allemagne à Bangkok, en passant par Moscou, Berlin, Paris, Rio, Brazzaville ou Saigon. Initiée à la photographie dans le Munich bourgeois de l'époque wilhelmienne, Germaine Krull choisit d'apprendre un métier pour être indépendante, vit en union libre, est confrontée à l'avortement.
Elle participe à la révolution de Novembre, est expulsée de Bavière. Déléguée à Moscou, elle est emprisonnée dans les geôles bolcheviques pour activité contre-révolutionnaire. Elle s'installe aux Pays-Bas puis à Paris où elle devient l'une des photographes d'avant-garde les plus en vue. Pendant la guerre, elle est chargée d'organiser les services photographiques de la France libre, débarque avec les Alliés en Provence et, en suivant la 1re armée française, découvre l'horreur des camps nazis.
Fin 1945, elle part en Indochine, puis ouvre un hôtel à Bangkok. Au cours de cette passionnante traversée du siècle, elle croise Lénine, rencontre le poète autrichien Rainer Maria Rilke, fréquente Walter Benjamin et Max Horkheimer, se marie avec Joris Ivens, entretient une liaison avec Eli Lotar, côtoie Sonia et Robert Delaunay, mais aussi André Malraux, Colette et le Dalaï-Lama. A travers cette épopée moderne, celle d'une photographe libre et cosmopolite, c'est aussi une page de l'histoire des femmes au XXe siècle qui s'écrit ici.