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En chantier. Une université et un quartier Paris 13e Masséna
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- PrésentationDépliant
- Poids0.775 kg
- Dimensions40,0 cm × 19,5 cm × 0,8 cm
- ISBN2-84597-183-4
- EAN9782845971837
- Date de parution05/10/2006
- ÉditeurTextuel
Résumé
Ce projet aux multiples visages, édifices réhabilités, constructions résolument inscrites dans la modernité, prend forme sous nos yeux. on pressent déjà qu'il changera la vie de tout un quartier ou il se mêlera intimement au tissu urbain. Cette mixité se fabrique non seulement à l'intérieur même des bâtiments universitaires par l'implantation en rez-de-chaussée de commerces et, dans la Halle aux Farines, de passages publics et d'un espace d'expositions et de création culturelle; mais aussi autour de ces constructions par la création de logements, bureaux, jardins et divers équipements publics.
L'option retenue de répartir les activités dans un ensemble de bâtiments d'échelle humaine pour accueillir les enseignements de physique et de biologie, de préserver et de reconvertir des édifices anciens, les Grands Moulins et la Halle aux Farines, éléments majeurs du patrimoine industriel parisien, est un gage du succès de cette imposante aventure. Lorsqu'il s'agit de l'implantation d'une université pluridisciplinaire comme Paris Denis Diderot, la transcription architecturale reste une opération délicate: la nécessaire préservation du patrimoine devant aller de pair avec un aménagement adéquat tourné vers les technologies du futur.
La prise en compte, par les architectes et l'aménageur, de cette complexité est adroitement rendue possible par la qualité architecturale des constructions existantes dont les grandes portées et les volumes ont permis l'implantation dans les Grands Moulins d'une bibliothèque de 1800 places et l'insertion de 13 amphithéâtres dans la Halle aux Farines. Nous sortons aujourd'hui du virtuel pour rentrer dans le concret et le visible.
Les photographies qui nous sont présentées dans cet ouvrage-étape, à mi-chemin entre ce qui n'existait pas et ce qui sera demain une université neuve et vivante, ne sont pas à proprement parler un reportage raisonné. Elles sont une création artistique, qu'il s'agisse du travail de cadrage sur la sédimentation urbaine de Stéphane Couturier ou du travail de mémorisation de Georges Rousse: mémoire des lieux et mémoire de son intervention.
Elles proposent une vision originale que nous vous invitons à partager.
L'option retenue de répartir les activités dans un ensemble de bâtiments d'échelle humaine pour accueillir les enseignements de physique et de biologie, de préserver et de reconvertir des édifices anciens, les Grands Moulins et la Halle aux Farines, éléments majeurs du patrimoine industriel parisien, est un gage du succès de cette imposante aventure. Lorsqu'il s'agit de l'implantation d'une université pluridisciplinaire comme Paris Denis Diderot, la transcription architecturale reste une opération délicate: la nécessaire préservation du patrimoine devant aller de pair avec un aménagement adéquat tourné vers les technologies du futur.
La prise en compte, par les architectes et l'aménageur, de cette complexité est adroitement rendue possible par la qualité architecturale des constructions existantes dont les grandes portées et les volumes ont permis l'implantation dans les Grands Moulins d'une bibliothèque de 1800 places et l'insertion de 13 amphithéâtres dans la Halle aux Farines. Nous sortons aujourd'hui du virtuel pour rentrer dans le concret et le visible.
Les photographies qui nous sont présentées dans cet ouvrage-étape, à mi-chemin entre ce qui n'existait pas et ce qui sera demain une université neuve et vivante, ne sont pas à proprement parler un reportage raisonné. Elles sont une création artistique, qu'il s'agisse du travail de cadrage sur la sédimentation urbaine de Stéphane Couturier ou du travail de mémorisation de Georges Rousse: mémoire des lieux et mémoire de son intervention.
Elles proposent une vision originale que nous vous invitons à partager.
Ce projet aux multiples visages, édifices réhabilités, constructions résolument inscrites dans la modernité, prend forme sous nos yeux. on pressent déjà qu'il changera la vie de tout un quartier ou il se mêlera intimement au tissu urbain. Cette mixité se fabrique non seulement à l'intérieur même des bâtiments universitaires par l'implantation en rez-de-chaussée de commerces et, dans la Halle aux Farines, de passages publics et d'un espace d'expositions et de création culturelle; mais aussi autour de ces constructions par la création de logements, bureaux, jardins et divers équipements publics.
L'option retenue de répartir les activités dans un ensemble de bâtiments d'échelle humaine pour accueillir les enseignements de physique et de biologie, de préserver et de reconvertir des édifices anciens, les Grands Moulins et la Halle aux Farines, éléments majeurs du patrimoine industriel parisien, est un gage du succès de cette imposante aventure. Lorsqu'il s'agit de l'implantation d'une université pluridisciplinaire comme Paris Denis Diderot, la transcription architecturale reste une opération délicate: la nécessaire préservation du patrimoine devant aller de pair avec un aménagement adéquat tourné vers les technologies du futur.
La prise en compte, par les architectes et l'aménageur, de cette complexité est adroitement rendue possible par la qualité architecturale des constructions existantes dont les grandes portées et les volumes ont permis l'implantation dans les Grands Moulins d'une bibliothèque de 1800 places et l'insertion de 13 amphithéâtres dans la Halle aux Farines. Nous sortons aujourd'hui du virtuel pour rentrer dans le concret et le visible.
Les photographies qui nous sont présentées dans cet ouvrage-étape, à mi-chemin entre ce qui n'existait pas et ce qui sera demain une université neuve et vivante, ne sont pas à proprement parler un reportage raisonné. Elles sont une création artistique, qu'il s'agisse du travail de cadrage sur la sédimentation urbaine de Stéphane Couturier ou du travail de mémorisation de Georges Rousse: mémoire des lieux et mémoire de son intervention.
Elles proposent une vision originale que nous vous invitons à partager.
L'option retenue de répartir les activités dans un ensemble de bâtiments d'échelle humaine pour accueillir les enseignements de physique et de biologie, de préserver et de reconvertir des édifices anciens, les Grands Moulins et la Halle aux Farines, éléments majeurs du patrimoine industriel parisien, est un gage du succès de cette imposante aventure. Lorsqu'il s'agit de l'implantation d'une université pluridisciplinaire comme Paris Denis Diderot, la transcription architecturale reste une opération délicate: la nécessaire préservation du patrimoine devant aller de pair avec un aménagement adéquat tourné vers les technologies du futur.
La prise en compte, par les architectes et l'aménageur, de cette complexité est adroitement rendue possible par la qualité architecturale des constructions existantes dont les grandes portées et les volumes ont permis l'implantation dans les Grands Moulins d'une bibliothèque de 1800 places et l'insertion de 13 amphithéâtres dans la Halle aux Farines. Nous sortons aujourd'hui du virtuel pour rentrer dans le concret et le visible.
Les photographies qui nous sont présentées dans cet ouvrage-étape, à mi-chemin entre ce qui n'existait pas et ce qui sera demain une université neuve et vivante, ne sont pas à proprement parler un reportage raisonné. Elles sont une création artistique, qu'il s'agisse du travail de cadrage sur la sédimentation urbaine de Stéphane Couturier ou du travail de mémorisation de Georges Rousse: mémoire des lieux et mémoire de son intervention.
Elles proposent une vision originale que nous vous invitons à partager.
