Attac, Encore Un Effort Pour Reguler La Mondialisation !?

Par : Michel Barrillon

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  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-84158-190-X
  • EAN9782841581900
  • Date de parution17/10/2001
  • ÉditeurClimats (editions)

Résumé

La mouvance antimondialisation, et singulièrement Attac, se focalise sur la question de la spéculation financière. Cette obsession la conduit à faire pression sur les hommes politiques afin qu'ils instaurent le contrôle des mouvements de capitaux internationaux. La belle unanimité qui se dessine aujourd'hui à ce sujet devrait inciter les militants " antimondialisation " à s'interroger à la fois sur leur identité et sur la signification profonde de leur engagement contre la dictature des marchés financiers. James Tobin, père de la fameuse taxe, ne déclare-t-il pas : " Le fait que l'on assimile mon système de taxation des opérations de change à une réforme de gauche demeure pour moi une énigme " ? Attac, ultime refuge, depuis sa création, de tous les déçus de la politique, doit-elle se contenter d'apporter un supplément d'âme au capitalisme ? Jusqu'à preuve du contraire, l'association semble pallier les carences d'un système qui ne parvient pas, pour l'heure, à assurer durablement sa régulation.
La mouvance antimondialisation, et singulièrement Attac, se focalise sur la question de la spéculation financière. Cette obsession la conduit à faire pression sur les hommes politiques afin qu'ils instaurent le contrôle des mouvements de capitaux internationaux. La belle unanimité qui se dessine aujourd'hui à ce sujet devrait inciter les militants " antimondialisation " à s'interroger à la fois sur leur identité et sur la signification profonde de leur engagement contre la dictature des marchés financiers. James Tobin, père de la fameuse taxe, ne déclare-t-il pas : " Le fait que l'on assimile mon système de taxation des opérations de change à une réforme de gauche demeure pour moi une énigme " ? Attac, ultime refuge, depuis sa création, de tous les déçus de la politique, doit-elle se contenter d'apporter un supplément d'âme au capitalisme ? Jusqu'à preuve du contraire, l'association semble pallier les carences d'un système qui ne parvient pas, pour l'heure, à assurer durablement sa régulation.