FIFAgate. Comment le Qatar a fait exploser le système Blatter

Par : Philippe Auclair, Eric Champel

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  • Nombre de pages343
  • PrésentationBroché
  • Poids0.532 kg
  • Dimensions15,4 cm × 23,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-7499-2773-2
  • EAN9782749927732
  • Date de parution20/08/2015
  • ÉditeurMichel Lafon

Résumé

Qatar 2022 aura finalement précipité la fin du règne Blatter. Un comble pour celui qui était favorable à une coupe du monde de football aux Etats-Unis. Que s'est-il donc passé pour que le 2 décembre 2010 le Qatar, un minuscule pays sans tradition footballistique, qualifié «à haut risque» par la commission d'attribution et réputé pour son mépris des droits de l'homme, l'emporte sur des concurrents autrement plus sérieux ? Le FBI a ouvert une enquête, encore en cours - révélant au grand jour les petits arrangements entre amis, échanges et monnayages de votes, magouilles, soupçons de corruption et blanchiment d'argent -, qui a conduit à l'arrestation des huiles du comité exécutif.
Mais n'oublions pas pour autant le rôle central joué par la France dans ce choix ubuesque : une authentique french connection où Nicolas Sarkozy, Michel Platini - meilleur ennemi de Blatter et candidat déclaré à sa succession -, Zinédine Zidane ou encore Jérôme Valcke, le secrétaire général de la FIFA, ont chacun joué les hommes du match.
Qatar 2022 aura finalement précipité la fin du règne Blatter. Un comble pour celui qui était favorable à une coupe du monde de football aux Etats-Unis. Que s'est-il donc passé pour que le 2 décembre 2010 le Qatar, un minuscule pays sans tradition footballistique, qualifié «à haut risque» par la commission d'attribution et réputé pour son mépris des droits de l'homme, l'emporte sur des concurrents autrement plus sérieux ? Le FBI a ouvert une enquête, encore en cours - révélant au grand jour les petits arrangements entre amis, échanges et monnayages de votes, magouilles, soupçons de corruption et blanchiment d'argent -, qui a conduit à l'arrestation des huiles du comité exécutif.
Mais n'oublions pas pour autant le rôle central joué par la France dans ce choix ubuesque : une authentique french connection où Nicolas Sarkozy, Michel Platini - meilleur ennemi de Blatter et candidat déclaré à sa succession -, Zinédine Zidane ou encore Jérôme Valcke, le secrétaire général de la FIFA, ont chacun joué les hommes du match.