L'homme est-il mauvais par nature ?

Par : Xavier de Chalendar, Laurent Gagnebin, Gérard Israël, Alain Houziaux

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  • Nombre de pages114
  • PrésentationBroché
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,5 cm × 20,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN2-7082-3812-4
  • EAN9782708238121
  • Date de parution22/09/2005
  • CollectionQuestions de vie
  • ÉditeurEditions de l'Atelier

Résumé

L'homme est-il mauvais par nature ? Les tragédies de l'Histoire sont-elles la conséquence de la méchanceté de l'homme ou résultent-elles d'un mal présent dans la société ? Peut-on combattre ce mal et devenir meilleur ? La faute originelle relatée par la Bible ne constitue pas une malédiction, affirme Alain Houziaux. Elle est, au contraire, la marque de notre humanité et de notre inaptitude à la perfection. D'ailleurs, comme le constate Xavier de Chalendar, ce qu'il y a de mauvais dans l'homme peut se réparer. Puisque que Dieu est affecté personnellement par le malheur, il n'abandonne pas les hommes dans leurs ténèbres. Il leur propose une conversion et un retour à la vie. Le péché originel ne conduit donc pas à la résignation, poursuit Laurent Gagnebin. Faire le bien n'est pas une condition pour être aimé de Dieu, mais une réponse à son amour. Pour Gérard Israël, c'est plutôt en termes de choix que la question se pose : l'homme n'est ni bon, ni mauvais. Il lui appartient de choisir entrez le bien et le mal.
L'homme est-il mauvais par nature ? Les tragédies de l'Histoire sont-elles la conséquence de la méchanceté de l'homme ou résultent-elles d'un mal présent dans la société ? Peut-on combattre ce mal et devenir meilleur ? La faute originelle relatée par la Bible ne constitue pas une malédiction, affirme Alain Houziaux. Elle est, au contraire, la marque de notre humanité et de notre inaptitude à la perfection. D'ailleurs, comme le constate Xavier de Chalendar, ce qu'il y a de mauvais dans l'homme peut se réparer. Puisque que Dieu est affecté personnellement par le malheur, il n'abandonne pas les hommes dans leurs ténèbres. Il leur propose une conversion et un retour à la vie. Le péché originel ne conduit donc pas à la résignation, poursuit Laurent Gagnebin. Faire le bien n'est pas une condition pour être aimé de Dieu, mais une réponse à son amour. Pour Gérard Israël, c'est plutôt en termes de choix que la question se pose : l'homme n'est ni bon, ni mauvais. Il lui appartient de choisir entrez le bien et le mal.