Critique de la faculté de juger

Par : Emmanuel Kant

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  • Nombre de pages542
  • PrésentationBroché
  • Poids0.595 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 3,7 cm
  • ISBN2-7007-3656-7
  • EAN9782700736564
  • Date de parution01/04/1993
  • CollectionBibliothèque philosophique
  • ÉditeurAubier

Résumé

"Ainsi, c'était l'entendement en propre, qui a son domaine propre et assurément dans la faculté de connaître, dans la mesure où il contient des principes de connaissance constitutifs a priori, qui devait, par la critique nommée généralement critique de la raison pure, être mis en place, contre tous les autres prétendants, dans une possession sûre mais unique. De même fut indiquée, dans la Critique de la raison pratique, la possession de la raison, qui ne contient nulle part des principes constitutifs a priori, sauf eu égard à la faculté de désirer.
Savoir maintenant si la faculté de juger, qui, dans l'ordre de nos facultés de connaître, constitue un intermédiaire entre l'entendement et la raison, a aussi, en elle-même, des principes a priori ; savoir si ceux-ci sont constitutifs ou simplement régulateurs (en n'indiquant pas ainsi de domaine propre) et si elle donne a priori une règle au sentiment de plaisir et de peine, en tant qu'intermédiaire entre la faculté de connaître et la faculté de désirer (tout comme l'entendement prescrit a priori des lois à la première, mais la raison à la seconde) : ce sont là les questions dont se préoccupe la présente critique de la faculté de juger".
Kant
"Ainsi, c'était l'entendement en propre, qui a son domaine propre et assurément dans la faculté de connaître, dans la mesure où il contient des principes de connaissance constitutifs a priori, qui devait, par la critique nommée généralement critique de la raison pure, être mis en place, contre tous les autres prétendants, dans une possession sûre mais unique. De même fut indiquée, dans la Critique de la raison pratique, la possession de la raison, qui ne contient nulle part des principes constitutifs a priori, sauf eu égard à la faculté de désirer.
Savoir maintenant si la faculté de juger, qui, dans l'ordre de nos facultés de connaître, constitue un intermédiaire entre l'entendement et la raison, a aussi, en elle-même, des principes a priori ; savoir si ceux-ci sont constitutifs ou simplement régulateurs (en n'indiquant pas ainsi de domaine propre) et si elle donne a priori une règle au sentiment de plaisir et de peine, en tant qu'intermédiaire entre la faculté de connaître et la faculté de désirer (tout comme l'entendement prescrit a priori des lois à la première, mais la raison à la seconde) : ce sont là les questions dont se préoccupe la présente critique de la faculté de juger".
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