LA PENSEE - WITTGENSTEIN.. Du Tractatus aux recherches philosophiques

Par : David Pears

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  • Nombre de pages534
  • PrésentationBroché
  • Poids0.765 kg
  • Dimensions13,8 cm × 22,6 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-7007-3652-4
  • EAN9782700736526
  • Date de parution01/11/1993
  • CollectionPhilosophie
  • ÉditeurAubier

Résumé

Deux ouvrages, devenus classiques dans leur extrême singularité, témoignent de la marque durable que Wittgenstein a imprimée à son siècle : le Tractatus logico-philosophicus (1922) et les Recherches philosophiques (1929-30). L'étude de David Pears - qui n'avait pas jusqu'ici d'équivalent en français - montre avec rigueur la continuité entre ces deux philosophies derrière l'apparente volte-face du début des années trente. Au cours de cette " révolution copernicienne " qui permute les positions respectives du langage et du monde, Wittgenstein passe d'un langage miroir du monde à une réalité qui n'est plus que " l'ombre portée de la grammaire ", d'un monde qui impose sa structure au langage à une grammaire qui détermine l'essence de chaque dose. Cette " seconde philosophie " est entièrement issue des fulgurantes intuitions de jeunesse de Wittgenstein et des critiques auxquelles il les soumet à partir de 1929.
Deux ouvrages, devenus classiques dans leur extrême singularité, témoignent de la marque durable que Wittgenstein a imprimée à son siècle : le Tractatus logico-philosophicus (1922) et les Recherches philosophiques (1929-30). L'étude de David Pears - qui n'avait pas jusqu'ici d'équivalent en français - montre avec rigueur la continuité entre ces deux philosophies derrière l'apparente volte-face du début des années trente. Au cours de cette " révolution copernicienne " qui permute les positions respectives du langage et du monde, Wittgenstein passe d'un langage miroir du monde à une réalité qui n'est plus que " l'ombre portée de la grammaire ", d'un monde qui impose sa structure au langage à une grammaire qui détermine l'essence de chaque dose. Cette " seconde philosophie " est entièrement issue des fulgurantes intuitions de jeunesse de Wittgenstein et des critiques auxquelles il les soumet à partir de 1929.