La bataille de N'Djamena 2 février 2008

Par : Abderaman Koulamallah

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  • Nombre de pages168
  • PrésentationBroché
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-343-05077-5
  • EAN9782343050775
  • Date de parution15/01/2015
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierAcheikh Ibn-Oumar

Résumé

Abderaman Koulamallah raconte ici la folle chevauchée motorisée de plus de 1 000 kilomètres, qui a permis la prise de N'Djamena, le 2 février 2008, à laquelle il a participé au coeur d'une coalition rebelle déterminée à renverser Idriss Déby, président de la République tchadienne, ainsi que les événements qui ont suivi. La victoire de N'Djamena, fait d'armes exceptionnel, a surpris tout le monde, mais l'expédition a fini en repli.
Que s'est-il passé ? Comment expliquer ce gâchis ? Cette épopée au dénouement décevant permet de mieux comprendre la vie politique si particulière du Tchad, marqué par sa géographie, où les formations politiques, inscrites dans des appartenances ethniques, peinent à s'entendre et où le sens de l'Etat resterait à construire, où l'intervention de la France, ancienne puissance coloniale, demeure décisive.
Et, enfin, comment des conflits d'apparence cycliques n'en finissent pas de ruiner le pays.
Abderaman Koulamallah raconte ici la folle chevauchée motorisée de plus de 1 000 kilomètres, qui a permis la prise de N'Djamena, le 2 février 2008, à laquelle il a participé au coeur d'une coalition rebelle déterminée à renverser Idriss Déby, président de la République tchadienne, ainsi que les événements qui ont suivi. La victoire de N'Djamena, fait d'armes exceptionnel, a surpris tout le monde, mais l'expédition a fini en repli.
Que s'est-il passé ? Comment expliquer ce gâchis ? Cette épopée au dénouement décevant permet de mieux comprendre la vie politique si particulière du Tchad, marqué par sa géographie, où les formations politiques, inscrites dans des appartenances ethniques, peinent à s'entendre et où le sens de l'Etat resterait à construire, où l'intervention de la France, ancienne puissance coloniale, demeure décisive.
Et, enfin, comment des conflits d'apparence cycliques n'en finissent pas de ruiner le pays.