Place Beauvau. La face cachée de la police

Par : Olivia Recasens, Jean-Michel Décugis, Christophe Labbé

Formats :

Disponible d'occasion :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages443
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-290-00029-8
  • EAN9782290000298
  • Date de parution24/01/2007
  • CollectionJ'ai lu. Document
  • ÉditeurJ'ai lu

Résumé

Durant deux ans, trois journalistes du magazine Le Point mené une enquête approfondie sur un des bastions notre République : le ministère de l'Intérieur. Au terme leurs investigations, les auteurs révèlent la face cachée, tout au moins voilée, de la place Beauvau. Car tenir les rênes de l'Intérieur, c'est également s'assurer d'une carte électorale majeure : l'enjeu sécuritaire. Sarkozy, mais avant Mitterrand et Chirac, l'a bien compris.
En dénonçant une police politisée, employée pour servir de stratégies de pouvoir personnelles, les journalistes pointent du doigt toutes les zones d'ombre de ce ministère clé. De manipulation de la presse aux exactions policières, sar oublier les accointances financières ni l'influence des syndicats, chaque ministre a exploité à sa manière les possibilités de la place Beauvau.
Durant deux ans, trois journalistes du magazine Le Point mené une enquête approfondie sur un des bastions notre République : le ministère de l'Intérieur. Au terme leurs investigations, les auteurs révèlent la face cachée, tout au moins voilée, de la place Beauvau. Car tenir les rênes de l'Intérieur, c'est également s'assurer d'une carte électorale majeure : l'enjeu sécuritaire. Sarkozy, mais avant Mitterrand et Chirac, l'a bien compris.
En dénonçant une police politisée, employée pour servir de stratégies de pouvoir personnelles, les journalistes pointent du doigt toutes les zones d'ombre de ce ministère clé. De manipulation de la presse aux exactions policières, sar oublier les accointances financières ni l'influence des syndicats, chaque ministre a exploité à sa manière les possibilités de la place Beauvau.