Les métamorphoses de la cité. Essai sur la dynamique de l'Occident
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- Nombre de pages424
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.308 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-08-127092-3
- EAN9782081270923
- Date de parution17/10/2012
- CollectionChamps Essais
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Pour Pierre Manent, la cité est la source du développement occidental. Avant cette invention, les hommes vivaient selon l'ordre relativement immobile des familles, encore prégnant dans bien des régions du monde. Avec la cité, l'humanité s'engage dans ce nouvel élément qu'est le politique entendu comme gouvernement de la chose commune. L'histoire de l'Occident devient alors celle de ses quatre grandes formes politiques : la cité, puis l'empire, l'Eglise et la nation.
Chaque nouvelle forme résulte de la précédente qui, parvenant au bout de ses possibilités, suscite la nouvelle. Mais la nation à son tour s'est détruite, dans les guerres "hyperboliques" du XXe siècle, et nous sommes aujourd'hui à la recherche d'une nouvelle forme politique et d'une réponse à l'éternelle question : comment nous gouverner nous-mêmes ? Cette histoire raisonnée des formes politiques est donc aussi une recherche de philosophie politique.
Chaque nouvelle forme résulte de la précédente qui, parvenant au bout de ses possibilités, suscite la nouvelle. Mais la nation à son tour s'est détruite, dans les guerres "hyperboliques" du XXe siècle, et nous sommes aujourd'hui à la recherche d'une nouvelle forme politique et d'une réponse à l'éternelle question : comment nous gouverner nous-mêmes ? Cette histoire raisonnée des formes politiques est donc aussi une recherche de philosophie politique.
Pour Pierre Manent, la cité est la source du développement occidental. Avant cette invention, les hommes vivaient selon l'ordre relativement immobile des familles, encore prégnant dans bien des régions du monde. Avec la cité, l'humanité s'engage dans ce nouvel élément qu'est le politique entendu comme gouvernement de la chose commune. L'histoire de l'Occident devient alors celle de ses quatre grandes formes politiques : la cité, puis l'empire, l'Eglise et la nation.
Chaque nouvelle forme résulte de la précédente qui, parvenant au bout de ses possibilités, suscite la nouvelle. Mais la nation à son tour s'est détruite, dans les guerres "hyperboliques" du XXe siècle, et nous sommes aujourd'hui à la recherche d'une nouvelle forme politique et d'une réponse à l'éternelle question : comment nous gouverner nous-mêmes ? Cette histoire raisonnée des formes politiques est donc aussi une recherche de philosophie politique.
Chaque nouvelle forme résulte de la précédente qui, parvenant au bout de ses possibilités, suscite la nouvelle. Mais la nation à son tour s'est détruite, dans les guerres "hyperboliques" du XXe siècle, et nous sommes aujourd'hui à la recherche d'une nouvelle forme politique et d'une réponse à l'éternelle question : comment nous gouverner nous-mêmes ? Cette histoire raisonnée des formes politiques est donc aussi une recherche de philosophie politique.