Balthus et le portrait

Par : Camille Viéville
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  • Nombre de pages206
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.546 kg
  • Dimensions24,9 cm × 31,7 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-08-126143-3
  • EAN9782081261433
  • Date de parution02/11/2011
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Dans un siècle qui a souvent malmené lé portrait, le peintre Balthus (1908-2001) s'est employé avec détermination à le réhabiliter. Si l'on connaît surtout de cet artiste des variations sur le thème de la jeune fille et ses grandes compositions emplies de mystère, le portrait joue néanmoins dans son oeuvre, dès les années 1920, un rôle passionnant et singulier. Attirant alors les créateurs les plus divers, le genre suscite un vif débat qui cristallise les antagonismes de la scène artistique.
Après la guerre, dans un contexte plus rétif à la figuration, Balthus pour-suivra sa voie, explorant plus encore les possibilités du portrait, notamment par le dessin. A partir des années 1930, le peintre développe une pensée esthétique du portrait. marquée par une conception très littéraire. En sont issues des oeuvres qui ont fasciné des écrivains majeurs tels Antonin Artaud, Pierre Jean Jouve, Pierre Klossowski ou encore Albert Camus.
Conçus tour à tour comme des créations divinatoires, magiques, nietzschéennes, les portraits de Balthus sont dotés d'un entêtant pouvoir d'envoûtement. Investissant une multitude de champs intimité, mondanité, amitiés artistiques et intellectuelles, autoportrait - ; leur analyse permet de saisir, dans le travail de l'artiste, le rôle fondamental tenu par l'histoire de la peinture, la complexité des processus plastiques et l'emprise de Balthus sur ses modèles.
Dans un siècle qui a souvent malmené lé portrait, le peintre Balthus (1908-2001) s'est employé avec détermination à le réhabiliter. Si l'on connaît surtout de cet artiste des variations sur le thème de la jeune fille et ses grandes compositions emplies de mystère, le portrait joue néanmoins dans son oeuvre, dès les années 1920, un rôle passionnant et singulier. Attirant alors les créateurs les plus divers, le genre suscite un vif débat qui cristallise les antagonismes de la scène artistique.
Après la guerre, dans un contexte plus rétif à la figuration, Balthus pour-suivra sa voie, explorant plus encore les possibilités du portrait, notamment par le dessin. A partir des années 1930, le peintre développe une pensée esthétique du portrait. marquée par une conception très littéraire. En sont issues des oeuvres qui ont fasciné des écrivains majeurs tels Antonin Artaud, Pierre Jean Jouve, Pierre Klossowski ou encore Albert Camus.
Conçus tour à tour comme des créations divinatoires, magiques, nietzschéennes, les portraits de Balthus sont dotés d'un entêtant pouvoir d'envoûtement. Investissant une multitude de champs intimité, mondanité, amitiés artistiques et intellectuelles, autoportrait - ; leur analyse permet de saisir, dans le travail de l'artiste, le rôle fondamental tenu par l'histoire de la peinture, la complexité des processus plastiques et l'emprise de Balthus sur ses modèles.
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