Les habits du pouvoir. Une histoire politique du vêtement masculin

Par : Dominique Gaulme, François Gaulme

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  • Nombre de pages287
  • PrésentationRelié
  • Poids2.245 kg
  • Dimensions24,8 cm × 31,7 cm × 3,4 cm
  • ISBN978-2-08-124292-0
  • EAN9782081242920
  • Date de parution17/10/2012
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

"Un habit c'est une idée qui flotte autour d'un homme", prétendait au XIXe siècle le tailleur Chevreuil. En effet, dès l'avènement des premières civilisations dans le bassin de l'Euphrate, les vallées de l'Indus, le delta du Nil ou encore en Chine, le vêtement, au-delà de sa fonction purement pratique de protection, a également exprimé l'organisation du pouvoir politique et sa répartition dans la société.
Du mode de vie tribal à la royauté sacrée, de la dictature à la démocratie, les codes vestimentaires révèlent autant les structures sociales qu'identitaires. Qu'il s'agisse de costumes d'apparat, de fourrures, de peintures tribales ou de coiffes faites de plumes, la parure témoigne du pouvoir de celui qui la porte. Si les sociétés dites "nues" emploient l'ocre, les plumes, le tapa ou les coquillages pour signifier le statut social, ailleurs se sera l'or, les perles ou la préciosité de certains textiles qui marqueront la préséance d'un individu.
C'est à une véritable épopée du vêtement d'apparat à travers les âges et les différents peuples de la planète que nous convie cet ouvrage. Des robes de cérémonies de l'empereur de Chine, des peintures d'ocres des Nubas d'Afrique en passant par les usages vestimentaires des différentes cours européennes qui ont donné naissance au costume masculin contemporain, se dessine une sociologie du vêtement.
"Dis-moi ce que tu portes, je te dirais qui tu es", rapporte un dicton populaire, on pourrait ajouter : "je te dirais dans quelle société tu vis..."
"Un habit c'est une idée qui flotte autour d'un homme", prétendait au XIXe siècle le tailleur Chevreuil. En effet, dès l'avènement des premières civilisations dans le bassin de l'Euphrate, les vallées de l'Indus, le delta du Nil ou encore en Chine, le vêtement, au-delà de sa fonction purement pratique de protection, a également exprimé l'organisation du pouvoir politique et sa répartition dans la société.
Du mode de vie tribal à la royauté sacrée, de la dictature à la démocratie, les codes vestimentaires révèlent autant les structures sociales qu'identitaires. Qu'il s'agisse de costumes d'apparat, de fourrures, de peintures tribales ou de coiffes faites de plumes, la parure témoigne du pouvoir de celui qui la porte. Si les sociétés dites "nues" emploient l'ocre, les plumes, le tapa ou les coquillages pour signifier le statut social, ailleurs se sera l'or, les perles ou la préciosité de certains textiles qui marqueront la préséance d'un individu.
C'est à une véritable épopée du vêtement d'apparat à travers les âges et les différents peuples de la planète que nous convie cet ouvrage. Des robes de cérémonies de l'empereur de Chine, des peintures d'ocres des Nubas d'Afrique en passant par les usages vestimentaires des différentes cours européennes qui ont donné naissance au costume masculin contemporain, se dessine une sociologie du vêtement.
"Dis-moi ce que tu portes, je te dirais qui tu es", rapporte un dicton populaire, on pourrait ajouter : "je te dirais dans quelle société tu vis..."