Le crime et la mémoire

Par : Alfred Grosser

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  • Nombre de pages268
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-08-081245-9
  • EAN9782080812452
  • Date de parution01/01/1991
  • CollectionChamps
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Un peu partout dans le monde retentissent des appels à la mémoire. " Souvenons-nous des crimes dont les nôtres ont été victimes ! " - " souvenez-vous des crimes que les vôtres ont commis ! ". Voici longtemps ou hier encore. En Vendée, en Afrique, en Ukraine, en Arménie, au Cambodge. Et à Auschwitz. Auschwitz qu'il faut comparer à d'autres crimes parce que la singularité ne se décrète pas. En Allemagne, la mémoire est multiple. Les dirigeants n'ont cessé de commémorer l'horreur. Mais des refus et des hypocrisies ont toujours été présents. De toute façon, il ne saurait y avoir culpabilité collective. Seulement un sens de la responsabilité à assumer pour un passé collectif. En France, nous préférons souvent ne pas savoir. Les non-lieux de la mémoire abondent. Et les amnisties. L'essentiel, c'est que la mémoire conduise à lutter contre les crimes en train de se commettre. A partir de la compréhension pour la souffrance de groupes humains auxquels on n'appartient pas.
Un peu partout dans le monde retentissent des appels à la mémoire. " Souvenons-nous des crimes dont les nôtres ont été victimes ! " - " souvenez-vous des crimes que les vôtres ont commis ! ". Voici longtemps ou hier encore. En Vendée, en Afrique, en Ukraine, en Arménie, au Cambodge. Et à Auschwitz. Auschwitz qu'il faut comparer à d'autres crimes parce que la singularité ne se décrète pas. En Allemagne, la mémoire est multiple. Les dirigeants n'ont cessé de commémorer l'horreur. Mais des refus et des hypocrisies ont toujours été présents. De toute façon, il ne saurait y avoir culpabilité collective. Seulement un sens de la responsabilité à assumer pour un passé collectif. En France, nous préférons souvent ne pas savoir. Les non-lieux de la mémoire abondent. Et les amnisties. L'essentiel, c'est que la mémoire conduise à lutter contre les crimes en train de se commettre. A partir de la compréhension pour la souffrance de groupes humains auxquels on n'appartient pas.
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