Courtois d'Arras. L'enfant prodigue
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- Nombre de pages178
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.15 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
- ISBN2-08-070813-9
- EAN9782080708137
- Date de parution01/04/1995
- CollectionGF
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Courtois, le fils cadet, annonce son intention de quitter la demeure paternelle et réclame sa part d'héritage. Il s'en va avec une bourse bien garnie et arrive à une auberge où il rencontre deux femmes, Pourette et Manchevaire, qui le séduisent par leurs flatteries et trouvent le moyen de lui voler sa bourse. Le malheureux se voit ainsi contraint de laisser ses vêtements en gage au patron pour régler la dépense. Seul et démuni, il se lamente sur son sort lorsqu'un prud'homme l'engage comme porcher. Courtois essaie en vain de s'adapter à son nouveau métier puis décide de retourner chez son père qui l'accueille avec joie, au grand dam de son frère aîné.
Savoureuse transposition de la parabole de l'Enfant prodigue, courtois d'Arras rencontra tout au long du Moyen Age un extraordinaire succès. Cette œuvre anonyme du début du XIIIe siècle, qui se situe à la lisière entre la pièce de théâtre et le fabliau, illustre et renouvelle admirablement la leçon biblique : il faut se perdre pour se sauver.
Courtois, le fils cadet, annonce son intention de quitter la demeure paternelle et réclame sa part d'héritage. Il s'en va avec une bourse bien garnie et arrive à une auberge où il rencontre deux femmes, Pourette et Manchevaire, qui le séduisent par leurs flatteries et trouvent le moyen de lui voler sa bourse. Le malheureux se voit ainsi contraint de laisser ses vêtements en gage au patron pour régler la dépense. Seul et démuni, il se lamente sur son sort lorsqu'un prud'homme l'engage comme porcher. Courtois essaie en vain de s'adapter à son nouveau métier puis décide de retourner chez son père qui l'accueille avec joie, au grand dam de son frère aîné.
Savoureuse transposition de la parabole de l'Enfant prodigue, courtois d'Arras rencontra tout au long du Moyen Age un extraordinaire succès. Cette œuvre anonyme du début du XIIIe siècle, qui se situe à la lisière entre la pièce de théâtre et le fabliau, illustre et renouvelle admirablement la leçon biblique : il faut se perdre pour se sauver.














