Un petit Parisien, 1941-1945
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-08-067949-X
- EAN9782080679499
- Date de parution28/01/2000
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Découvrir à la fois la vie et la guerre, c'est le lot de toute génération qui a connu le froid, la faim, la peur, les bombes, à l'âge des premiers jeux, des premières émotions, des premiers souvenirs. Etre un petit garçon de cinq ans, en 1941, c'est se retrouver victime d'une bien mauvaise plaisanterie de l'histoire. Le mal ne serait pas si grand si la tendresse d'une mère, la chaleur d'un foyer protégeaient l'enfant et ses frères contre le vent mauvais d'un temps sans pitié.
Mais entre une mère morte trop tôt et un père très occupé, l'une disparue, enfouie, apparemment oublié dans sa tombe, l'autre pris dans le tourbillon de ses amours, de ses ambitions et de ses dérives, tous deux absents, il n'y a personne pour tenir la main de ce petit Parisien -lui-même- dont Dominique Jamet évoque aujourd'hui le souvenir, personne pour l'aider à traverser ses années deux fois noires.
Qu'est-ce, dira-t-on, qu'un malheur particulier dans le grand malheur général, quelques gouttes de plus dans un océan de larmes ? Plus peut-être qu'on en peut supporter. Assez pour en rester marqué, blessé, glacé, toute sa vie. Il a fallut que le temps passe pour que Dominique Jamet ose enfin regarder en face et raconter l'enfance qui lui a été volée. © Frédéric Morellec/Flammarion
Mais entre une mère morte trop tôt et un père très occupé, l'une disparue, enfouie, apparemment oublié dans sa tombe, l'autre pris dans le tourbillon de ses amours, de ses ambitions et de ses dérives, tous deux absents, il n'y a personne pour tenir la main de ce petit Parisien -lui-même- dont Dominique Jamet évoque aujourd'hui le souvenir, personne pour l'aider à traverser ses années deux fois noires.
Qu'est-ce, dira-t-on, qu'un malheur particulier dans le grand malheur général, quelques gouttes de plus dans un océan de larmes ? Plus peut-être qu'on en peut supporter. Assez pour en rester marqué, blessé, glacé, toute sa vie. Il a fallut que le temps passe pour que Dominique Jamet ose enfin regarder en face et raconter l'enfance qui lui a été volée. © Frédéric Morellec/Flammarion
Découvrir à la fois la vie et la guerre, c'est le lot de toute génération qui a connu le froid, la faim, la peur, les bombes, à l'âge des premiers jeux, des premières émotions, des premiers souvenirs. Etre un petit garçon de cinq ans, en 1941, c'est se retrouver victime d'une bien mauvaise plaisanterie de l'histoire. Le mal ne serait pas si grand si la tendresse d'une mère, la chaleur d'un foyer protégeaient l'enfant et ses frères contre le vent mauvais d'un temps sans pitié.
Mais entre une mère morte trop tôt et un père très occupé, l'une disparue, enfouie, apparemment oublié dans sa tombe, l'autre pris dans le tourbillon de ses amours, de ses ambitions et de ses dérives, tous deux absents, il n'y a personne pour tenir la main de ce petit Parisien -lui-même- dont Dominique Jamet évoque aujourd'hui le souvenir, personne pour l'aider à traverser ses années deux fois noires.
Qu'est-ce, dira-t-on, qu'un malheur particulier dans le grand malheur général, quelques gouttes de plus dans un océan de larmes ? Plus peut-être qu'on en peut supporter. Assez pour en rester marqué, blessé, glacé, toute sa vie. Il a fallut que le temps passe pour que Dominique Jamet ose enfin regarder en face et raconter l'enfance qui lui a été volée. © Frédéric Morellec/Flammarion
Mais entre une mère morte trop tôt et un père très occupé, l'une disparue, enfouie, apparemment oublié dans sa tombe, l'autre pris dans le tourbillon de ses amours, de ses ambitions et de ses dérives, tous deux absents, il n'y a personne pour tenir la main de ce petit Parisien -lui-même- dont Dominique Jamet évoque aujourd'hui le souvenir, personne pour l'aider à traverser ses années deux fois noires.
Qu'est-ce, dira-t-on, qu'un malheur particulier dans le grand malheur général, quelques gouttes de plus dans un océan de larmes ? Plus peut-être qu'on en peut supporter. Assez pour en rester marqué, blessé, glacé, toute sa vie. Il a fallut que le temps passe pour que Dominique Jamet ose enfin regarder en face et raconter l'enfance qui lui a été volée. © Frédéric Morellec/Flammarion