CALAMITY JANE.. Le Diable blanc

Par : Hortense Dufour

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  • Nombre de pages368
  • PrésentationBroché
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-08-067662-8
  • EAN9782080676627
  • Date de parution19/11/1998
  • CollectionGrandes biographies
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

" Y'aura-t-il seulement quelqu'un pour planter un cactus sur ma tombe ? " se demandait Calamity Jane. Ivre d'alcool, de chagrin, malade, aveugle, au terme de sa vie Martha Jane Cannary ne cessait de répéter cette phrase. Et de pleurer la solitude qui l'enserrait. Femme au destin hors du commun, celle que les Blancs surnommaient " la reine des plaines " et les Indiens " le Diable blanc " suscite encore, un siècle plus tard, de nombreuses interrogations, voire une admiration sans bornes. Détestant l'hypocrisie, cette aventurière vivant comme un homme, fut tour à tour conductrice de diligences, convoyeuse de fonds, chercheuse d'or, joueuse de poker invétérée. Amoureuse de la route, des étreintes passionnées, mais aussi des enfants - l'auteur la suit à la trace, grâce notamment aux lettres émouvantes qu'elle a écrites à sa fille -, cette femme décédée en 1902, à 51 ans, partageait tout avec les plus pauvres. Loin de singer les hommes, même si elle leur ressemblait parfois, elle avait la jambe superbe, le regard sublime, une opulente chevelure auburn et l'attache féminine d'une main sachant porter avec grâce... une Winchester.
" Y'aura-t-il seulement quelqu'un pour planter un cactus sur ma tombe ? " se demandait Calamity Jane. Ivre d'alcool, de chagrin, malade, aveugle, au terme de sa vie Martha Jane Cannary ne cessait de répéter cette phrase. Et de pleurer la solitude qui l'enserrait. Femme au destin hors du commun, celle que les Blancs surnommaient " la reine des plaines " et les Indiens " le Diable blanc " suscite encore, un siècle plus tard, de nombreuses interrogations, voire une admiration sans bornes. Détestant l'hypocrisie, cette aventurière vivant comme un homme, fut tour à tour conductrice de diligences, convoyeuse de fonds, chercheuse d'or, joueuse de poker invétérée. Amoureuse de la route, des étreintes passionnées, mais aussi des enfants - l'auteur la suit à la trace, grâce notamment aux lettres émouvantes qu'elle a écrites à sa fille -, cette femme décédée en 1902, à 51 ans, partageait tout avec les plus pauvres. Loin de singer les hommes, même si elle leur ressemblait parfois, elle avait la jambe superbe, le regard sublime, une opulente chevelure auburn et l'attache féminine d'une main sachant porter avec grâce... une Winchester.