En l'absence des maîtres
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages300
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.368 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 2,3 cm
- ISBN2-08-064406-8
- EAN9782080644060
- Date de parution01/12/1983
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Enfants, femmes et vieux : trois zones affectives, trois régions du réel dont les coutumes sont différentes bien qu'on y parle une même langue. Un discours trois fois réitéré sur l'absence de ceux qui sont les seuls à même de donner un sens au monde et faute desquels les vieux pourrissent, les femmes se tuent et les enfants dévorent : les maîtres. Trois romans qui n'en font qu'un seul, tant il est vrai que ce n'est que par l'accumulation de ces trois visions que le monde devient un tout.
Vrai et fabuleux, fabuleux par la force de sa vérité, l'univers de Nicolae Breban, qui n'est pas sans rappeler ceux d'un Tchékhov ou d'un Dostoïevski, est un noeud de drames dont l'écrivain se sert pour explorer les forces occultes et primordiales qui nous gouvernent. Car ce n'est que grâce aux personnages que l'on peut apercevoir, comme à travers les verres vivants d'un immense appareil optique, au plus profond du monde, l'horlogerie secrète dont seul les maîtres ont conscience.
Vrai et fabuleux, fabuleux par la force de sa vérité, l'univers de Nicolae Breban, qui n'est pas sans rappeler ceux d'un Tchékhov ou d'un Dostoïevski, est un noeud de drames dont l'écrivain se sert pour explorer les forces occultes et primordiales qui nous gouvernent. Car ce n'est que grâce aux personnages que l'on peut apercevoir, comme à travers les verres vivants d'un immense appareil optique, au plus profond du monde, l'horlogerie secrète dont seul les maîtres ont conscience.
Enfants, femmes et vieux : trois zones affectives, trois régions du réel dont les coutumes sont différentes bien qu'on y parle une même langue. Un discours trois fois réitéré sur l'absence de ceux qui sont les seuls à même de donner un sens au monde et faute desquels les vieux pourrissent, les femmes se tuent et les enfants dévorent : les maîtres. Trois romans qui n'en font qu'un seul, tant il est vrai que ce n'est que par l'accumulation de ces trois visions que le monde devient un tout.
Vrai et fabuleux, fabuleux par la force de sa vérité, l'univers de Nicolae Breban, qui n'est pas sans rappeler ceux d'un Tchékhov ou d'un Dostoïevski, est un noeud de drames dont l'écrivain se sert pour explorer les forces occultes et primordiales qui nous gouvernent. Car ce n'est que grâce aux personnages que l'on peut apercevoir, comme à travers les verres vivants d'un immense appareil optique, au plus profond du monde, l'horlogerie secrète dont seul les maîtres ont conscience.
Vrai et fabuleux, fabuleux par la force de sa vérité, l'univers de Nicolae Breban, qui n'est pas sans rappeler ceux d'un Tchékhov ou d'un Dostoïevski, est un noeud de drames dont l'écrivain se sert pour explorer les forces occultes et primordiales qui nous gouvernent. Car ce n'est que grâce aux personnages que l'on peut apercevoir, comme à travers les verres vivants d'un immense appareil optique, au plus profond du monde, l'horlogerie secrète dont seul les maîtres ont conscience.