Le grand monde

Par : Guy Des Cars

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  • Nombre de pages615
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.64 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 4,0 cm
  • ISBN2-08-060018-4
  • EAN9782080600189
  • Date de parution01/04/1977
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

" Le Grand Monde ", ce n'est pas la haute société parisienne, c'est un bar de Saïgon, image du vaste monde, parce qu'il s'y croise des intrigues et des intérêts noués dans les différents continents. C'est là que Jacques Fernet, soi-disant peintre de renom, et son ami l'antiquaire Serge Martin, tous deux appartenant aux Services secrets, ont, dans la situation confuse - et tragique, puisque Jacques a perdu la vue au cours d'un attentat - où les a conduits la recherche d'un document précieux, rencontré une taxi-girl d'ascendance chinoise, fanatique et sensuelle, cruelle et douce en même temps. Ngô Thi Maï Khanh - tel est son nom - s'est éprise de Jacques, et, comme elle paraît savoir beaucoup de choses, celui-ci a reçu la mission de la faire parler. Il y réussira, sans que le document soit trouvé pour autant, mais il tombera si bien sous le pouvoir de la jeune danseuse que Serge Martin, pour le libérer d'elle, devra le faire expulser d'Indochine. Jacques, pourtant, ne se libérera pas si facilement, en dépit des efforts conjugués de ses chefs, de sa mère et de la belle Nicole. Et quand, enfin, il croit y être parvenu, c'est Maï qui se rappelle cruellement à son souvenir. Car on n'échappe pas à l'Orient et à son mystère. Jacques, revenu à Saïgon, en fera l'amère expérience : ballotté d'aventure en aventure, courant après Serge Martin, disparu, le document introuvable et Maï dont il veut se venger, que rencontrera-t-il au bout de sa route ? Le monde fascinant où il évolue, les figures équivoques qui jalonnent son interminable quête : Jojo, l'hôtelier chinois, le commissaire Xi-Dien, Kim, le boy de Serge Martin, et Serge Martin lui-même, d'un cynisme raffiné, les incessants rebondissements de l'intrigue et, surtout, la figure envoûtante de Maï qui se dit fille de Bouddha : il y a là de quoi tenir le lecteur en haleine, de quoi le faire passer, à la suite de Jacques Fernet, par les sentiments les plus divers, depuis l'émotion poétique jusqu'au frisson d'horreur, le tout marqué de cette audace victorieuse dont Guy des Cars a déjà donné tant d'exemples.
" Le Grand Monde ", ce n'est pas la haute société parisienne, c'est un bar de Saïgon, image du vaste monde, parce qu'il s'y croise des intrigues et des intérêts noués dans les différents continents. C'est là que Jacques Fernet, soi-disant peintre de renom, et son ami l'antiquaire Serge Martin, tous deux appartenant aux Services secrets, ont, dans la situation confuse - et tragique, puisque Jacques a perdu la vue au cours d'un attentat - où les a conduits la recherche d'un document précieux, rencontré une taxi-girl d'ascendance chinoise, fanatique et sensuelle, cruelle et douce en même temps. Ngô Thi Maï Khanh - tel est son nom - s'est éprise de Jacques, et, comme elle paraît savoir beaucoup de choses, celui-ci a reçu la mission de la faire parler. Il y réussira, sans que le document soit trouvé pour autant, mais il tombera si bien sous le pouvoir de la jeune danseuse que Serge Martin, pour le libérer d'elle, devra le faire expulser d'Indochine. Jacques, pourtant, ne se libérera pas si facilement, en dépit des efforts conjugués de ses chefs, de sa mère et de la belle Nicole. Et quand, enfin, il croit y être parvenu, c'est Maï qui se rappelle cruellement à son souvenir. Car on n'échappe pas à l'Orient et à son mystère. Jacques, revenu à Saïgon, en fera l'amère expérience : ballotté d'aventure en aventure, courant après Serge Martin, disparu, le document introuvable et Maï dont il veut se venger, que rencontrera-t-il au bout de sa route ? Le monde fascinant où il évolue, les figures équivoques qui jalonnent son interminable quête : Jojo, l'hôtelier chinois, le commissaire Xi-Dien, Kim, le boy de Serge Martin, et Serge Martin lui-même, d'un cynisme raffiné, les incessants rebondissements de l'intrigue et, surtout, la figure envoûtante de Maï qui se dit fille de Bouddha : il y a là de quoi tenir le lecteur en haleine, de quoi le faire passer, à la suite de Jacques Fernet, par les sentiments les plus divers, depuis l'émotion poétique jusqu'au frisson d'horreur, le tout marqué de cette audace victorieuse dont Guy des Cars a déjà donné tant d'exemples.