À paraître

La société des besoins. Comment passer du superflu au suffisant ?

Par : Cécile Désaunay
Précommande en ligne
Votre colis est préparé et expédié le jour de la sortie de cet article, hors dimanches et jours fériés, dans la limite des stocks disponibles.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-07-312078-6
  • EAN9782073120786
  • Date de parution18/09/2025
  • CollectionManifestô
  • ÉditeurAlternatives

Résumé

Depuis une dizaine d'années, la consommation des Français augmente de moins en moins vite. Vieillissement de la population, suréquipement, contraintes financières, mais aussi critiques croissantes envers ce modèle sociétal expliquent en partie le phénomène. Et si ce ralentissement constituait une occasion unique de s'interroger sur la place de la consommation dans nos vies, mais aussi, plus largement, sur ce dont nous avons vraiment besoin pour bien vivre ? Le fonctionnement actuel de notre société consumériste est en effet particulièrement inefficace.
D'un côté, des besoins fondamentaux - se nourrir, se loger, se soigner... - ne sont toujours pas satisfaits pour une partie de la population. De l'autre, des besoins moins essentiels apparaissent "trop satisfaits", ce qui se traduit par des comportements excessifs - gaspillage, surproduction... -, nuisibles pour les individus comme pour la planète. Autrement dit, les besoins de l'économie sont aujourd'hui considérés comme supérieurs à ceux des êtres humains et de l'environnement.
Pourquoi ne pas enfin inverser cette logique et placer nos besoins essentiels et ceux des écosystèmes naturels au coeur du fonctionnement de notre société ?
Depuis une dizaine d'années, la consommation des Français augmente de moins en moins vite. Vieillissement de la population, suréquipement, contraintes financières, mais aussi critiques croissantes envers ce modèle sociétal expliquent en partie le phénomène. Et si ce ralentissement constituait une occasion unique de s'interroger sur la place de la consommation dans nos vies, mais aussi, plus largement, sur ce dont nous avons vraiment besoin pour bien vivre ? Le fonctionnement actuel de notre société consumériste est en effet particulièrement inefficace.
D'un côté, des besoins fondamentaux - se nourrir, se loger, se soigner... - ne sont toujours pas satisfaits pour une partie de la population. De l'autre, des besoins moins essentiels apparaissent "trop satisfaits", ce qui se traduit par des comportements excessifs - gaspillage, surproduction... -, nuisibles pour les individus comme pour la planète. Autrement dit, les besoins de l'économie sont aujourd'hui considérés comme supérieurs à ceux des êtres humains et de l'environnement.
Pourquoi ne pas enfin inverser cette logique et placer nos besoins essentiels et ceux des écosystèmes naturels au coeur du fonctionnement de notre société ?