Le nouveau mur de l'argent. Essai sur la finance globalisée
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- Poids0.285 kg
- Dimensions13,9 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-02-109616-3
- EAN9782021096163
- Date de parution01/06/2012
- CollectionEconomie humaine
- ÉditeurSeuil
Résumé
L'histoire monétaire et financière que la France a connue dans l'entre-deux-guerres est en train de se répéter, mais, cette fois-ci, à l'échelle mondiale : l'action des grandes banques internationales dresse un nouveau " mur de l'argent " auquel se heurte la volonté des politiques. Cet ouvrage analyse l'architecture, la construction et les dangers de ce mur. Il propose tout d'abord une évaluation précise de l'emprise de la finance globale sur l'économie réelle.
Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale. Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire : ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales.
La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale. François Morin, professeur émérite de sciences économiques à l'université de Toulouse-I, a été membre du Conseil général de la Banque de France et du Conseil d'analyse économique.
Il a notamment publié Un monde sans Wall Street ? (Seuil, 2011).
Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale. Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire : ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales.
La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale. François Morin, professeur émérite de sciences économiques à l'université de Toulouse-I, a été membre du Conseil général de la Banque de France et du Conseil d'analyse économique.
Il a notamment publié Un monde sans Wall Street ? (Seuil, 2011).
L'histoire monétaire et financière que la France a connue dans l'entre-deux-guerres est en train de se répéter, mais, cette fois-ci, à l'échelle mondiale : l'action des grandes banques internationales dresse un nouveau " mur de l'argent " auquel se heurte la volonté des politiques. Cet ouvrage analyse l'architecture, la construction et les dangers de ce mur. Il propose tout d'abord une évaluation précise de l'emprise de la finance globale sur l'économie réelle.
Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale. Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire : ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales.
La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale. François Morin, professeur émérite de sciences économiques à l'université de Toulouse-I, a été membre du Conseil général de la Banque de France et du Conseil d'analyse économique.
Il a notamment publié Un monde sans Wall Street ? (Seuil, 2011).
Des tableaux inédits, exprimés dans une nouvelle unité de mesure (le téradollar, soit mille milliards de dollars), offrent une vision cohérente des flux financiers (capitaux) et des flux réels (biens et services) qui traversent l'économie mondiale. Il met ensuite au jour le rôle singulier que joue les plus grandes banques mondiales. Depuis les années 1990, quelques dizaines de banques ont conquis le vrai pouvoir de régulation monétaire : ce sont elles désormais qui dictent effectivement l'évolution des taux d'intérêt, et non plus les Banques centrales.
La revendication démocratique contestant l'indépendance des Banques centrales à l'égard du politique est donc déjà dépassée. Le pouvoir est ailleurs. Et cela est d'autant plus inquiétant que ce pouvoir semble incapable de nous éviter des catastrophes financières. Un des meilleurs spécialistes français ouvre ici une piste de réflexion pour une autre régulation de la finance globale. François Morin, professeur émérite de sciences économiques à l'université de Toulouse-I, a été membre du Conseil général de la Banque de France et du Conseil d'analyse économique.
Il a notamment publié Un monde sans Wall Street ? (Seuil, 2011).