La trentième année
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.222 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-02-101071-8
- EAN9782021010718
- Date de parution21/10/2010
- ÉditeurSeuil
- TraducteurMarie-Simone Rollin
Résumé
Première oeuvre romanesque d'Ingeborg Bachmann dans une nouvelle version de la traductrice. Les sept nouvelles qui composent ce recueil sont organiquement liées entre elles. La dernière, " Ondine s'en va", les résume et les regroupe. Malgré leurs turpitudes, leurs errements et leurs luttes, malgré la guerre dont les hommes ne sont pas encore libérés, Ondine choisit de chanter la gloire de ce monde.
Car l'être humain est toujours à la recherche patiente d'un absolu. Prisonnier et conscient de sa prison, l'homme tend les mains vers une liberté qu'il sait impossible. Au terme d'une méditation lyrique sur les étapes de sa vie passée, il s'accepte pécheur.
Car l'être humain est toujours à la recherche patiente d'un absolu. Prisonnier et conscient de sa prison, l'homme tend les mains vers une liberté qu'il sait impossible. Au terme d'une méditation lyrique sur les étapes de sa vie passée, il s'accepte pécheur.
Première oeuvre romanesque d'Ingeborg Bachmann dans une nouvelle version de la traductrice. Les sept nouvelles qui composent ce recueil sont organiquement liées entre elles. La dernière, " Ondine s'en va", les résume et les regroupe. Malgré leurs turpitudes, leurs errements et leurs luttes, malgré la guerre dont les hommes ne sont pas encore libérés, Ondine choisit de chanter la gloire de ce monde.
Car l'être humain est toujours à la recherche patiente d'un absolu. Prisonnier et conscient de sa prison, l'homme tend les mains vers une liberté qu'il sait impossible. Au terme d'une méditation lyrique sur les étapes de sa vie passée, il s'accepte pécheur.
Car l'être humain est toujours à la recherche patiente d'un absolu. Prisonnier et conscient de sa prison, l'homme tend les mains vers une liberté qu'il sait impossible. Au terme d'une méditation lyrique sur les étapes de sa vie passée, il s'accepte pécheur.