Une âme de trop

Par : Brigitte Aubert
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  • Nombre de pages253
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-02-089266-9
  • EAN9782020892667
  • Date de parution19/10/2006
  • CollectionPoliciers
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Infirmière quadragénaire en congé de maladie pour crise d'agoraphobie, Elvira trompe sa solitude en surfant sur Internet et adore le calme douillet de son appartement. Ce qu'elle apprécie moins, c'est Steven-le-Coincé, son propriétaire et collègue, qui vit à l'étage au-dessus. Et ce qu'elle déteste carrément, c'est qu'un psychopathe commence à dépecer des femmes auxquelles elle ressemble. L'inquiétude sourde d'Elvira se mue peu à peu en angoisse ouverte lorsque, avec ses collègues, un inspecteur de police et des internautes plus ou moins fiables, elle comprend que ces meurtres tournent autour de l'hôpital...
et se rapprochent d'elle. La mort au double visage est à l'œuvre. Suspense garanti pour petits et grands meurtres à huis clos.
Infirmière quadragénaire en congé de maladie pour crise d'agoraphobie, Elvira trompe sa solitude en surfant sur Internet et adore le calme douillet de son appartement. Ce qu'elle apprécie moins, c'est Steven-le-Coincé, son propriétaire et collègue, qui vit à l'étage au-dessus. Et ce qu'elle déteste carrément, c'est qu'un psychopathe commence à dépecer des femmes auxquelles elle ressemble. L'inquiétude sourde d'Elvira se mue peu à peu en angoisse ouverte lorsque, avec ses collègues, un inspecteur de police et des internautes plus ou moins fiables, elle comprend que ces meurtres tournent autour de l'hôpital...
et se rapprochent d'elle. La mort au double visage est à l'œuvre. Suspense garanti pour petits et grands meurtres à huis clos.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.7/5
sur 6 notes dont 2 avis lecteurs
Qui est pris ?
Un petit polar pour changer ! Brigitte Aubert dans ma PAL, allez hop. J’avais déjà lu « le souffle de l’ogre » que j’avais beaucoup aimé. J’avoue ne pas avoir été déçue. Si vous êtes accro aux sites de rencontre sur Internet, attention vos ne les verrez plus avec les mêmes yeux, quoique... Chez Brigitte Aubert, toujours cette outrance qui fait que l’on sourit. Imaginez Elvira, infirmière quadra-dépresso-agoraphobe, chez elle en déshabillé de soie, string, chaussons roses qui vit au rythme des sonneries de son Babyphone, et des messages de son MacChou, pendue à ses boîtes d’antidépresseurs et sa bouteille de cognac. Elle surfe sur un site de rencontre où elle correspond avec « latinlover », Ray…. A la recherche de l’amour ou, pour le moins, d’un amoureux. Elle adooooooooore se remonter le moral dans un bain très chaud avec huiles essentielles et autres crèmes miracles. Mais, un meurtre, puis deux, puis trois en relations étroites avec son service et la voici, la voilà qui cogite à s’en faire mal au crâne. Comme de bien entendu, les inspecteurs ne prennent pas au sérieux ses interprétations. Ils sont si débordés, les pauvres choux, par ces meurtres perpétrés par un tueur en série. C’est gros et plus c’est gros, plus ça fonctionne. Prise dans les mailles du filet, je n’ai pas vu la ficelle qui a fort bien fonctionné. Le coupable était celui auquel je pensais, mais…… Un bon moment de lecture comme je les aime
Un petit polar pour changer ! Brigitte Aubert dans ma PAL, allez hop. J’avais déjà lu « le souffle de l’ogre » que j’avais beaucoup aimé. J’avoue ne pas avoir été déçue. Si vous êtes accro aux sites de rencontre sur Internet, attention vos ne les verrez plus avec les mêmes yeux, quoique... Chez Brigitte Aubert, toujours cette outrance qui fait que l’on sourit. Imaginez Elvira, infirmière quadra-dépresso-agoraphobe, chez elle en déshabillé de soie, string, chaussons roses qui vit au rythme des sonneries de son Babyphone, et des messages de son MacChou, pendue à ses boîtes d’antidépresseurs et sa bouteille de cognac. Elle surfe sur un site de rencontre où elle correspond avec « latinlover », Ray…. A la recherche de l’amour ou, pour le moins, d’un amoureux. Elle adooooooooore se remonter le moral dans un bain très chaud avec huiles essentielles et autres crèmes miracles. Mais, un meurtre, puis deux, puis trois en relations étroites avec son service et la voici, la voilà qui cogite à s’en faire mal au crâne. Comme de bien entendu, les inspecteurs ne prennent pas au sérieux ses interprétations. Ils sont si débordés, les pauvres choux, par ces meurtres perpétrés par un tueur en série. C’est gros et plus c’est gros, plus ça fonctionne. Prise dans les mailles du filet, je n’ai pas vu la ficelle qui a fort bien fonctionné. Le coupable était celui auquel je pensais, mais…… Un bon moment de lecture comme je les aime
Très bon polar, maix avec un bémol...
J'ai pris grand plaisir à lire ce polar ; j'ai aimé l'histoire, le personne central de l'infirmière agoraphobe déjantée, les références aux musiques ou séries qui "ancrent" l'histoire, et l'humour qui fourmille malgré la noirceur. Un bémol cependant, on découvre beaucoup beaucoup trop vite qui est le coupable. Une déception, donc...mais qui n'arrive pas à gâcher complètement le plaisir de lecture, heureusement...
J'ai pris grand plaisir à lire ce polar ; j'ai aimé l'histoire, le personne central de l'infirmière agoraphobe déjantée, les références aux musiques ou séries qui "ancrent" l'histoire, et l'humour qui fourmille malgré la noirceur. Un bémol cependant, on découvre beaucoup beaucoup trop vite qui est le coupable. Une déception, donc...mais qui n'arrive pas à gâcher complètement le plaisir de lecture, heureusement...