La conférence des oiseaux

Par : Farid ud-Din' Attar

Formats :

Disponible d'occasion :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 17 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages361
  • PrésentationBroché
  • Poids0.745 kg
  • Dimensions14,6 cm × 21,9 cm × 3,3 cm
  • ISBN2-02-041501-1
  • EAN9782020415019
  • Date de parution01/11/2002
  • ÉditeurSeuil

Résumé

On ignore presque tout de ce que fut la vie de Farid-ud-Din Attar. On sait qu'il est né à Nichéãpur, en Perse, probablement en 1140, qu'il fut apothicaire, qu'il voyagea beaucoup, et qu'il mourut en 1230, dans sa quatre-vingt-dixième année. On sait surtout qu'il fut l'un des plus grands poètes mystiques de cette époque glorieuse du soufisme où la quête divine atteignit des sommets inégalés. Rûmi, Hallaj, Saadi furent ses pairs. Il écrivit beaucoup. Le Mémorial des saints, Le Livre divin sont de ses œuvres majeures. La Conférence des oiseaux est assurément la plus accomplie. Elle relate le voyage de la huppe et d'une trentaine de ses compagnons en quête de Simorgh, leur roi. D'innombrables contes, anecdotes, paroles de saints et de fous les accompagnent. " Lis ce livre, chercheur, tu sauras où aller, dit le poète. Savoure-le longtemps et tu seras nourri. Car il a de quoi t'étonner. Tu le lis une fois et tu crois le connaître, mais non ! Lis-le cent fois, cent merveilles nouvelles ébahiront ton œil. " Autant dire que La Conférence des oiseaux est de ces livres qui se savourent et se fréquentent comme des amis nourriciers.
On ignore presque tout de ce que fut la vie de Farid-ud-Din Attar. On sait qu'il est né à Nichéãpur, en Perse, probablement en 1140, qu'il fut apothicaire, qu'il voyagea beaucoup, et qu'il mourut en 1230, dans sa quatre-vingt-dixième année. On sait surtout qu'il fut l'un des plus grands poètes mystiques de cette époque glorieuse du soufisme où la quête divine atteignit des sommets inégalés. Rûmi, Hallaj, Saadi furent ses pairs. Il écrivit beaucoup. Le Mémorial des saints, Le Livre divin sont de ses œuvres majeures. La Conférence des oiseaux est assurément la plus accomplie. Elle relate le voyage de la huppe et d'une trentaine de ses compagnons en quête de Simorgh, leur roi. D'innombrables contes, anecdotes, paroles de saints et de fous les accompagnent. " Lis ce livre, chercheur, tu sauras où aller, dit le poète. Savoure-le longtemps et tu seras nourri. Car il a de quoi t'étonner. Tu le lis une fois et tu crois le connaître, mais non ! Lis-le cent fois, cent merveilles nouvelles ébahiront ton œil. " Autant dire que La Conférence des oiseaux est de ces livres qui se savourent et se fréquentent comme des amis nourriciers.