Vive la Terre. Physiologie d'une planète

Par : Peter Westbroek

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages213
  • PrésentationBroché
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-02-032382-6
  • EAN9782020323826
  • Date de parution24/03/1998
  • CollectionScience ouverte
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Peut-être parce que son pays natal, la Hollande, est un écosystème artificiel entièrement façonné de main d'homme, Peter Westbroek, géologue de formation, a toujours été intimement persuadé que la vie joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de la planète, qu'elle est une " force géologique majeure " dont l'importance a trop longtemps été occultée. Des îles Frisonnes aux lagons de Floride et aux atolls du Pacifique, des gigantesques structures coralliennes aux falaises de calcaire et aux délicats tapis bactériens, il montre que la vie, loin de s'adapter passivement aux conditions ambiantes, n'a cessé depuis son apparition, de modeler et de réguler son environnement. La Terre peut-elle alors, en accord avec la célèbre hypothèse Gaïa proposée par le chercheur britannique James Lovelock, être considérée comme un super-organisme ? Hâtivement adoptée par le mouvement New Age, l'idée a mis du temps à s'imposer dans le monde scientifique. Sous le terme moins ésotérique de " géophysiologie ", elle suscite aujourd'hui un effort de recherche multidisciplinaire sans précèdent visant à comprendre l'impact du vivant sur la formation des roches et la régulation du climat. Le prélude, sans doute, au mariage si longtemps différé des sciences de la vie et de la Terre.
Peut-être parce que son pays natal, la Hollande, est un écosystème artificiel entièrement façonné de main d'homme, Peter Westbroek, géologue de formation, a toujours été intimement persuadé que la vie joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de la planète, qu'elle est une " force géologique majeure " dont l'importance a trop longtemps été occultée. Des îles Frisonnes aux lagons de Floride et aux atolls du Pacifique, des gigantesques structures coralliennes aux falaises de calcaire et aux délicats tapis bactériens, il montre que la vie, loin de s'adapter passivement aux conditions ambiantes, n'a cessé depuis son apparition, de modeler et de réguler son environnement. La Terre peut-elle alors, en accord avec la célèbre hypothèse Gaïa proposée par le chercheur britannique James Lovelock, être considérée comme un super-organisme ? Hâtivement adoptée par le mouvement New Age, l'idée a mis du temps à s'imposer dans le monde scientifique. Sous le terme moins ésotérique de " géophysiologie ", elle suscite aujourd'hui un effort de recherche multidisciplinaire sans précèdent visant à comprendre l'impact du vivant sur la formation des roches et la régulation du climat. Le prélude, sans doute, au mariage si longtemps différé des sciences de la vie et de la Terre.